Bon à savoir
Au cours des prochains jours, des perturbations vont amener sur le pays des masses d’air très doux et cet épisode atteint son paroxysme durant la journée de jeudi.
Pour le premier jour de la semaine, un minimum dépressionnaire circule sur les plaines du sud-ouest et s’évacue en cours de soirée par le Golfe du Lion. À son passage, des pluies apportent 5 à 10 mm localement 25 mm entre la Charente-Maritime et le midi toulousain ; côté Pyrénées-Orientalesquelques gouttes sont tout au plus possibles. En prime, un vent d’ouest violent se lève et concerne les alentours des départements pyrénéens avec des rafales de plus 100 km/h localement en plaine. Les températures de l’après-midi sont globalement stationnaires et se hissent généralement autour d’une dizaine de degrés, plutôt une quinzaine du piémont pyrénéen à la Méditerranée.
Mardi, une nouvelle perturbation arrive par la Bretagne. En parallèle, de hautes pressions s’installent sur la France et permettent le matin la formation de nombreux nuages bas le long du Val de Garonne, le Val de Saône et la moitié nord en excluant la Bretagne qui est sous la pluie, la Normandie et les Hauts-de-France. Les minimales profitent de ces conditions anticycloniques temporaires pour partir à la baisse ; de faibles gelées peuvent ainsi fleurir dès les premières hauteurs des massifs, ou localement dans les plaines d’un large quart Nord-Est.
L’après-midi, alors que dans le nord les grisailles sont rattrapées par la perturbation, dans le sud, le soleil s’impose ou s’accompagne de cirrus par moments denses. Mais la masse d’air se radoucit et les maximales atteignent généralement 15 °C dans le Sud, voire dépassent déjà les 20 °C dans le Pays basque.
Pour le milieu de semaine, un flux de sud-ouest s’ancre sur la France et dans le sillage de perturbations, une masse d’air encore plus doux remonte depuis le Golfe de Gascogne. Dès mercredi, le risque de gelée se limite à l’intérieur provençal ; en ce qui concerne les maximales, elles culminent à près de 17-20 °C entre la Nouvelle-Aquitaine et la vallée du Rhône. Plus au nord, les valeurs tournent régulièrement autour de 15 °C.
Jeudi, cette douceur va s’accroître de plus belle et la plupart des minimales et maximales vont gagner 1 à 2 degrés par rapport à la veille excepté autour du Golfe du Lion où des entrées maritimes vont limiter le plafond à environ 15 °C ce qui reste plus que raisonnable pour la saison. Le seuil de chaleur (25 °C) peut même être approché, voire atteint, le long du piémont pyrénéen ouest, ce qui n’est pas inédit pour cette région, mais cela n’arrive pas chaque année durant le mois de février. À l’échelle nationale, l’indicateur thermique moyen pourrait à nouveau rallier les 12 °C, une valeur qui a déjà été atteinte ce mois le 8 et 9 février.
Durant la seconde partie de journée de jeudi, une perturbation balaye le pays d’ouest en est mais les cumuls de pluies seront à préciser dans les jours à venir.
Pour la suite des prévisions, l’incertitude est grande. En tout cas, les températures baissent modestement et l’ambiance va rester douce (l’indicateur thermique moyen encore autour de 10 °C). La météo pourra être encore un peu pluvieuse à cause de gouttes froides ou de perturbations qui circulent mais l’approche d’un anticyclone depuis la péninsule ibérique au cours du week-end devrait apaiser le temps.
Selon France Info :
Les conclusions d'une enquête nationale révèlent aussi qu'une part non négligeable des élèves doit faire l'objet d'une vigilance accrue face au risque de harcèlement, soit 19% des écoliers du CE2 au CM2, 6% des collégiens et 5% des lycéens.
"C'est un véritable fléau qu'il nous faut absolument réguler", a déclaré Nicole Belloubet. Plus d'un élève par classe est en moyenne victime de harcèlement scolaire, selon les résultats d'une grande enquête nationale révélés par la nouvelle ministre de l'Education nationale, lundi 12 février. L'enquête, menée en novembre 2023 dans le sillage d'un plan interministériel contre le harcèlement scolaire, a démontré que 5% des écoliers du CE2 au CM2, 6% des collégiens et 4% des lycéens sont considérés comme victimes de harcèlement, a précisé la nouvelle ministre lors de son premier déplacement dans un collège de Reims (Marne).
Rendez-vous à l’Espace Jean Jaurès, 1 rue Gaston Escarguel, à Sète le mercredi 14 février à 18h30.
En savoir plus : https://thau-infos.fr/index.php/commune/183060-les-discours-les-plus-marquants-de-robert-badinter
Jour de l'hommage national qui aura lieu à Paris, place Vendôme, siège du ministère de la Justice.
- Le Samedi 17 février 2024 de 14h30 à 17h00
Après-midi récréative mise en place par le Comité des Fêtes :
14h30 : accueil des enfants
15h : déambulation avec chars et la pena "Los Amigos" jusqu'au parc Chales-de-Gaulle
17h : Spectacle "L'incroyable voyage dans le temps de Lili" suivi d'un goûter
adresse
Départ Place Lucien Salette
Avenue du Port
34540 BALARUC LES BAINS
telephone
07 61 79 15 21
Selon Orange.fr
Invité de BFMTV, dimanche 11 février, Arnaud Rousseau a regretté que les mesures annoncées par le gouvernement ne soient "pas dans le bon tempo". Il n’a pas exclu une reprise des mobilisations lors du salon de l’Agriculture, qui s’ouvrira dans une dizaine de jours.
Une concorde passagère ? Près de deux semaines après la suspension des mobilisations des agriculteurs, la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), premier syndicat agricole, réclame des comptes au gouvernement. Invité de BFMTV, dimanche 11 février, le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, a exhorté l’exécutif à accélérer l’agenda des mesures prises pour accroître les revenus et améliorer les conditions de travail des agriculteurs. Le Salon de l’agriculture s’ouvrira le 24 février, et Arnaud Rousseau n’exclut pas des actions de la part des agriculteurs si le gouvernement ne remplit pas sa part du marché... Lire https://actu.orange.fr/france/agriculteurs-personne-n-a-interet-a-nous-balader-la-mise-en-garde-du-patron-de-la-fnsea-au-gouvernement-magic-CNT000002cfJmo.html
Selon Orange.fr :
Grâce à une révision du mode de calcul du diagnostic de performance énergétique, les logements de moins de 40 m² classés G vont passer à F, laissant un répit de trois ans aux propriétaires. Près de 140 000 logements sont concernés, selon Christophe Béchu, dans Le Parisien.
Bonne nouvelle pour certains propriétaires. Alors qu’à partir de 2025, les logements, dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) classé G, ne pourront plus être loués, Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, avait annoncé fin janvier que le mode de calcul allait être revu pour la mi-février. Ainsi, les propriétaires d’un bien inférieur à 40 m², dont le DPE est classé G, verront ce dernier passer à F. Le ministre a précisé sa pensée ce lundi 12 février dans les colonnes du Parisien....
Poursuivre : https://actu.orange.fr/france/passoires-thermiques-un-sursis-pour-140-000-logements-magic-CNT000002cf59G.html
Grande Exposition du Fabriqué en France à l'Elysée : ouverture de l'appel à candidature de l'édition 2024
Les tarifs des péages sont revus chaque année au 1er février. Le ministère des Transports avait annoncé en novembre 2023 une augmentation inférieure à 3 % en moyenne en 2024, après 4,75 % en 2023 et 2 % en 2022. Plusieurs arrêtés publiés au Journal officiel du 31 janvier confirment une hausse autour de 3 % sur les principaux réseaux autoroutiers.
La hausse des péages intervient dans le cadre de la révision annuelle des contrats prévue entre l'État et les concessionnaires. Elle s'inscrit dans un contexte d'inflation et d'investissements de la part des sociétés autoroutières.
Pour calculer les évolutions de tarifs à appliquer au 1er février, les concessionnaires d'autoroutes se basent sur le taux d'inflation constaté sur la période de référence concernée (pour les tarifs 2024 : de fin 2022 à octobre 2023). La répercussion de l'inflation sur la réévaluation des prix peut atteindre 70 %.
Ces évolutions sont validées chaque année par l'État.
À noter qu'en 2024, le gel tarifaire de 2015 imposé par l'État ne s'applique plus, il a pris fin en 2023.
À savoir : la loi de finances pour 2024 prévoit la mise en place d'une taxe sur les « infrastructures de transport de longue distance » qui concerne les concessions autoroutières et les grands aéroports.
L'augmentation des tarifs diffère selon les régions, chaque société autoroutière appliquant sa propre hausse.
Les arrêtés fixant les tarifs applicables sur les différents réseaux autoroutiers ont été publiés au Journal officiel du 31 janvier 2024. Les tarifs sont aussi disponibles sur les sites internet des sociétés d'autoroute.
On notera les augmentations suivantes (applicables sur les véhicules légers de catégorie A1) :
- A'lienor (A65) : + 4,31 % ;
- APPR (A5, A6, A42, A71, A75) : + 3,02 % ;
- AREA (A43, A48, A49) : + 3,04 % ;
- ASF (A7, A10, A61, A62, A64, A89) : + 2,70 % ;
- Cofiroute (A10, A11, A85) : + 2,70 % ;
- Escota (A8, A50, A51) : + 2,70 % ;
- Sanef (A1, A4, A16, A26) : + 2,79 % ;
- SAPN (A13, A14, A29) : + 3,08 %.
À savoir : depuis 2023, si vous disposez d'un badge « Télépéage » et que vous êtes un automobiliste réalisant des trajets réguliers, des formules d'abonnement vous permettent de bénéficier de remises pouvant aller jusqu'à 40 % dès 20 trajets identiques dans le mois.
Rappel : la réduction de 5 % appliquée en 2023 pour les propriétaires de voitures électriques sur certains réseaux autoroutiers pour encourager « la décarbonation du parc automobile » a pris fin au 31 décembre 2023
En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression et son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l'UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.
Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement
a déclaré le porte parole de l'’UNESCO dans son communiqué de presse.
Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d'une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.
World radio day
Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.
Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l'histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l'occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l'épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d'état en France.
L'épilepsie reste une maladie encore mal connue. C'est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l'épilepsie de l'ombre en organisant, depuis l'an 2000 une Journée nationale dédiée à l'épilepsie. La Journée Internationale de l'Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.
La plupart d'entre nous confondent l'épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu'elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.
Il n'y a pas une mais des épilepsies...
L'épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l'expression d'un fonctionnement anormal de l'activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu'au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d'épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n'existe pas une mais des épilepsies.
Apprendre les bons gestes
Un des buts de cette journée est d'informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l'empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.
Un traitement efficace
Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l'épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d'épilepsie. Aujourd'hui, 70 % des cas d'épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.
Un thème pour 2023
"Épilepsie, lavons les préjugés"
pour mieux faire disparaitre les idées fausses sur l’épilepsie et ses différentes manifestations,
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l'épilepsie.
Dimanche 11 février, Gérald Darmanin s’est rendu à Mayotte, où règne le chaos depuis trois semaines. Après avoir posé le pied sur l’île, le ministre de l'Intérieur a annoncé la fin du droit du sol sur l’archipel. Une décision juste selon vous ?
Pillages, incendies, blocages… Depuis trois semaines, la situation ne fait que s’envenimer à Mayotte. En déplacement sur l’île, dimanche 11 février, Gérald Darmanin n’a pas perdu de temps avant de s’exprimer sur la situation. Ainsi, dans une volonté de freiner l’immigration illégale qui ronge le territoire, le ministre de l’Intérieur a annoncé la fin de l'inscription du droit du sol "dans une révision constitutionnelle que choisira le président de la République". Approuvez-vous cette décision ?......................
Lire sur Orange.fr : https://actu.orange.fr/question-du-jour-2024-02-12-CNT000002cf5xD.html
- Euthanasie : le geste fort et symbolique de l’ancien Premier ministre néerlandais et son épouse
- Guerre entre Israël et le Hamas : ce qu'il faut retenir de la journée du dimanche 11 février
- Flash : peut-être une nouvelle fonction pour le château d'eau de Sète.
- Menés au score, les Gones se sont imposés à Montpellier (1-2) et prennent trois points d'avance sur leur adversaire du jour.