Bon à savoir

Comment protéger les enfants dans leur usage des écrans ?

Enfants, Gagner, Succès, Jeu Vidéo

Conseils techniques sur les outils de contrôle parental, ressources pédagogiques pour initier le dialogue avec les enfants… La plateforme gratuite jeprotegemonenfant.gouv.fr s’adresse à tous les parents qui s’interrogent face à l'exposition de leurs enfants aux écrans.

Portail d'information unique sur la parentalité numérique, le site jeprotegemonenfant.gouv.fr s'adresse aux parents d'enfants et d’adolescents pour les accompagner dans les usages des outils numériques et l’exposition à du contenu choquant en ligne.

Ce site a pour vocation d'accompagner les parents : informer sur les risques encourus face à l'exposition aux écrans, proposer des solutions pour mieux protéger les enfants, accompagner les parents dans le dialogue avec leur enfant.

Vous pouvez retrouver sur le site un ensemble de conseils, parmi lesquels :

  • éviter d’exposer les enfants de moins de 3 ans aux écrans ;

  • utiliser les écrans dans un objectif pédagogique précis et limiter le temps d’utilisation lors des moments de loisirs ;

  • limiter l’usage des écrans avant l’endormissement pour améliorer la qualité du sommeil ;

  • maintenir des activités ne nécessitant pas d’écran et favoriser les activités extérieures.

  • Quels outils pour protéger mon enfant dans son usage du numérique ?

Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr vous propose des outils permettant l’encadrement et la restriction de contenu accessible à votre enfant. Pour les mettre en place, il est important d’identifier les équipements que votre enfant utilise (smartphone, tablette, ordinateur, console de jeux…).

Vous pourrez ainsi retrouver sur la plateforme des tutoriels selon votre besoin afin de mettre en place certaines règles, par exemple :

  • un contrôle parental ;
  • un filtrage du contenu en fonction de l’âge de votre enfant ;
  • une limitation de temps de consultation ;
  • un plafond de dépense ou l’impossibilité de faire des achats en ligne.

Ces outils peuvent aider à prévenir les risques mais ne sont pas infaillibles et ne se substituent pas à la vigilance. Des ressources pour vous aider à initier un dialogue et sensibiliser votre enfant au risque sont également proposées.

À savoir  

Le 3018 accompagne et prend en charge les parents et les jeunes sur l’usage des écrans et les violences numériques. Le numéro est joignable gratuitement 7 jours sur 7, de 9h à 23h.

Voir aussi

L'utilisation des titres restaurant pour faire ses courses va être prolongée

Selon Orange.frHôtel, Podjavornik, Le Restaurant

Comme le révèle "Le Parisien", vendredi 5 avril, l'utilisation des titres restaurant dans les supermarchés, dont le plafond est de 25 euros depuis la crise du Covid-19, va se pérenniser. Mais sous certaines conditions visant à venir en aide aux professionnels de la restauration.

C'est une perspective qui ne manquera pas de ravir de nombreux salariés. Comme le révèle Le Parisien, vendredi 5 avril, le gouvernement va prochainement acter la prolongation de l'utilisation des titre restaurant pour faire ses courses. Selon une étude relayée par nos confrères, 96 % des utilisateurs souhaitent pouvoir continuer à les utiliser en rayon et 75 % des salariés avouent avoir changé leurs habitudes de déjeuner depuis 2019. Preuve que cette mesure, votée en août 2022 et prolongée fin 2023 pour favoriser le pouvoir d’achat, suscitent un grand intérêt de la part des Français.

À la fin du mois d'avril, Olivia Grégoire, la ministre déléguée en charge des entreprises, du tourisme et de la consommation, va présenter le "nouveau" titre restaurant, qui doit ensuite être voté dans le cadre d’une loi présentée avant l’automne. D'après les chiffres de la commission nationale des titres restaurant (CNTR), l'utilisation des titres restaurant connaît un succès grandissant dans les rayons (+7% depuis 2022) et représente désormais 30% des achats. Malgré ce succès, plusieurs conditions devraient évoluer après le passage de la loi, notamment pour venir en aide au secteur de la restauration.

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/l-utilisation-des-titres-restaurant-pour-faire-ses-courses-va-etre-prolongee-magic-CNT000002doAt5.html

Guerre dans la bande de Gaza : Israël fait ce que Washington a demandé concernant l'aide à Gaza, affirme Joe Biden

Selon France Info : 

Les propos du président des Etats-Unis interviennent au lendemain d'un appel entre le Joe Biden et le Premier ministre Benyamin Nétanyahou.

Ce qu'il faut savoir

Israël accomplit les mesures demandées par les Etats-Unis concernant l'augmentation de l'acheminement d'aide à Gaza, a affirmé vendredi 5 avril Joe Biden, au lendemain d'un appel entre le président américain et le Premier ministre Benyamin Nétanyahou. Interrogé pour savoir s'il avait menacé de cesser la livraison d'aide militaire à Israël lors de cet appel, Joe Biden a répondu en quittant la Maison Blanche: "je leur ai demandé de faire ce qu'ils sont en train de faire". Suivez notre direct.

  Le chef de l'ONU "perturbé" par des informations sur l'utilisation de l'IA par l'armée israélienne. "Aucune portion de décisions de vie ou de mort qui ont un impact sur des familles entières ne.....................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/direct-guerre-entre-israel-et-le-hamas-benyamin-netanyahou-autorise-la-livraison-temporaire-d-aide-dans-la-bande-de-gaza_6468116.html

Usurpation d'identité

Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d'un compte ou d'un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d'une usurpation d'identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.

Ai Généré, Homme, Données Personnelles

L'usurpation d'identité est le fait de prendre, sans son accord, l'identité ou les données personnelles d'une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.

Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d'un crédit), administratives (par exemple, délivrance d'une carte d'identité...) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des infractionsActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).

C'est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans pénal.

En cas d'utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d'usurpation d'identité numérique.

L'usurpation d'identité est différente de l'usage d'une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d'identité.

L'usurpation d'identité peut résulter par exemple des situations suivantes :

  • Vol ou perte d'une pièce d'identité
  • Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
  • Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d'emploi
  • Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
  • Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire...) dans la poubelle

L'usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :

  • Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
  • Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
  • Bénéficier d'aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
  • Ouvrir une ligne téléphonique
  • Créer des comptes sur les réseaux sociaux
  • Fabriquer de faux papiers
  • Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l'identité de la victime)

La victime peut vérifier qu'elle fait l'objet d'une usurpation d'identité en :

En cas de soupçon d'usurpation d'identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d'identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d'emploi...).

Quand la victime se rend compte qu'on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d'une usurpation d'identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.

Déposer une main courante

En cas de soupçon d'une éventuelle usurpation d'identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d'identité), une main courante peut être déposée.

C'est une déclaration qui doit être faite en se rendant dans un commissariat ou une gendarmerie.

Les faits (nature, date, lieu...) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.

Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.

Porter plainte

La victime peut porter plainte dès qu'elle se rend compte qu'une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d'un crédit qu'elle n'a pas souscrit.

La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d'écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement...).

Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l'enquête.

À savoir  

La main courante et la plainte ont de buts différents.

Si vous estimez être victime d'une infraction pénale et que vous souhaitez que l'auteur soit poursuivi, alors vous devez porter plainte.

Si vous souhaitez faire constater une situation, signaler ou dénoncer des faits dont vous êtes témoin ou victime sans qu'il y ait des poursuites pénales, alors vous devez déposer une main courante.

Prévenir les organismes, administrations ...

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine financier

La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit...).

Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)

Elle peut vérifier qu'elle n'est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).

La victime peut établir une attestation sur l'honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu'elle n'est pas l'auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine administratif

La victime doit informer les organismes et administrations (Caf : Caf : Caisse d'allocations familiales, sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts...) de l'usurpation d'identité.

L'usurpation d'identité concerne une amende

La victime qui reçoit une demande de paiement d'une amende pour des faits qu'elle n'a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d'identité.

Elle doit contester l'amende.

Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d'usurpation de plaques d'immatriculation, elle peut demander l'attribution d'un nouveau numéro d'immatriculation et une nouvelle carte grise.

Il s'agit d'une usurpation d'identité numérique

On parle d'usurpation d'identité numérique lorsqu'une personne utilise sur Internet les éléments d'identification d'une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…

La victime peut porter plainte et signaler l'usurpation d'identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube...).

La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.

L'usurpation d'identité est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans.

La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.

Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.

Lorsque cette infraction est commise par l' époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

Le fait de prendre le nom d'un tiers lors de la commission d'une infractionActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. Par exemple, lorsqu'une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu'elle donne le nom, l'adresse... d'une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.

Pour éviter une usurpation d'identité, certaines précautions peuvent être prises, comme par exemple :

  • Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
  • Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
  • Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
  • En cas de doute sur l'expéditeur d'un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
  • Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d'imposition....), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
  • Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu'ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
  • Bien se déconnecter de tous les comptes lors d'une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public

Usurpation d'identité

Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d'un compte ou d'un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d'une usurpation d'identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.

Ai Généré, Homme, Données Personnelles

L'usurpation d'identité est le fait de prendre, sans son accord, l'identité ou les données personnelles d'une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.

Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d'un crédit), administratives (par exemple, délivrance d'une carte d'identité...) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des infractionsActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).

C'est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans pénal.

En cas d'utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d'usurpation d'identité numérique.

L'usurpation d'identité est différente de l'usage d'une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d'identité.

L'usurpation d'identité peut résulter par exemple des situations suivantes :

  • Vol ou perte d'une pièce d'identité
  • Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
  • Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d'emploi
  • Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
  • Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire...) dans la poubelle

L'usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :

  • Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
  • Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
  • Bénéficier d'aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
  • Ouvrir une ligne téléphonique
  • Créer des comptes sur les réseaux sociaux
  • Fabriquer de faux papiers
  • Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l'identité de la victime)

La victime peut vérifier qu'elle fait l'objet d'une usurpation d'identité en :

En cas de soupçon d'usurpation d'identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d'identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d'emploi...).

Quand la victime se rend compte qu'on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d'une usurpation d'identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.

Déposer une main courante

En cas de soupçon d'une éventuelle usurpation d'identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d'identité), une main courante peut être déposée.

C'est une déclaration qui doit être faite en se rendant dans un commissariat ou une gendarmerie.

Les faits (nature, date, lieu...) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.

Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.

Porter plainte

La victime peut porter plainte dès qu'elle se rend compte qu'une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d'un crédit qu'elle n'a pas souscrit.

La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d'écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement...).

Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l'enquête.

À savoir  

La main courante et la plainte ont de buts différents.

Si vous estimez être victime d'une infraction pénale et que vous souhaitez que l'auteur soit poursuivi, alors vous devez porter plainte.

Si vous souhaitez faire constater une situation, signaler ou dénoncer des faits dont vous êtes témoin ou victime sans qu'il y ait des poursuites pénales, alors vous devez déposer une main courante.

Prévenir les organismes, administrations ...

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine financier

La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit...).

Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)

Elle peut vérifier qu'elle n'est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).

La victime peut établir une attestation sur l'honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu'elle n'est pas l'auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine administratif

La victime doit informer les organismes et administrations (Caf : Caf : Caisse d'allocations familiales, sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts...) de l'usurpation d'identité.

L'usurpation d'identité concerne une amende

La victime qui reçoit une demande de paiement d'une amende pour des faits qu'elle n'a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d'identité.

Elle doit contester l'amende.

Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d'usurpation de plaques d'immatriculation, elle peut demander l'attribution d'un nouveau numéro d'immatriculation et une nouvelle carte grise.

Il s'agit d'une usurpation d'identité numérique

On parle d'usurpation d'identité numérique lorsqu'une personne utilise sur Internet les éléments d'identification d'une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…

La victime peut porter plainte et signaler l'usurpation d'identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube...).

La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.

L'usurpation d'identité est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans.

La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.

Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.

Lorsque cette infraction est commise par l' époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

Le fait de prendre le nom d'un tiers lors de la commission d'une infractionActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. Par exemple, lorsqu'une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu'elle donne le nom, l'adresse... d'une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.

Pour éviter une usurpation d'identité, certaines précautions peuvent être prises, comme par exemple :

  • Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
  • Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
  • Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
  • En cas de doute sur l'expéditeur d'un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
  • Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d'imposition....), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
  • Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu'ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
  • Bien se déconnecter de tous les comptes lors d'une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public

Le Canal du Midi rouvre à la navigation

Le Canal du Midi rouvre à la navigation .
De Sète à Toulouse, il fait le bonheur des plaisanciers qui le découvrent au fil de ses 63 écluses !
Profitez des beaux jours pour faire une escale sur ce joyau de notre patrimoine https://www.laregion.fr/Le-Canal-du-Midi-une-destination...

Affaire Xavier Dupont de Ligonnès : plusieurs signalements dans le Doubs, des analyses ADN en cours

Selon Orange.frEnquête, Suspect, Choisir, Sélection

Alors que l’Est Républicain a publié jeudi 4 avril le témoignage d’une femme assurant avoir vu Xavier Dupont de Ligonnès dans une communauté religieuse du Doubs en mars dernier, deux autres personnes ont aussi affirmé l’avoir reconnu, publie le journal ce vendredi.

Ce sont de nouvelles révélations dans l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès. Jeudi 4 avril, L’Est Républicain se faisait l’écho du témoignage d’une femme qui assurait avoir reconnu l’homme, recherché depuis 2011, dans une communauté religieuse du Doubs en mars dernier. Ce vendredi, le journal rapporte que deux autres personnes ont également affirmé avoir reconnu le fugitif dans les mêmes environs.

Les trois personnes affirment avoir reconnu le père de famille, le 9 mars dernier, lors d’une veillée de la communauté des sœurs de Béthanie à Montferrand-le-Château. Un homme qui s’est présenté sous le nom de Jean a éveillé les soupçons de certains membres de la communauté. Il a assuré qu’il appartenait à la communauté du verbe de la vie, qui a été dissoute en juillet 2023, pour abus spirituel et phénomène d’emprise, indique le procureur de la République. L’homme aurait expliqué qu’il "marchait sur les chemins, sans but et ne disposait d’aucune identité."

Reparti sans donner d'explication.............................. Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/affaire-xavier-dupont-de-ligonnes-plusieurs-signalements-dans-le-doubs-des-analyses-adn-en-cours-magic-CNT000002docRR.html

À partir du 15 avril, promener son chien sans laisse dans les bois pourra vous exposer à une grosse amende

Selon Orange.frMarcher, Homme, Chien, Animal, Forêt

Les chiens devront être tenus en laisse dans les bois à partir du 15 avril et jusqu’au 30 juin. En cas de non-respect de cette règle, une amende de 750 euros pourra être délivrée.

Promener son chien sans laisse dans les bois, cela pourrait bientôt vous coûter très cher. Du 15 avril au 30 juin, la pratique sera, en effet, interdite. En cas de non-respect de cette règle, les propriétaires de chiens s’exposent à une amende de 750 euros, rapporte BFM RMC.

Selon l’Office national des forêts, à cette période, les chiens peuvent perturber l’espace naturel autour d’eux et la reproduction des animaux sauvages. La règle n’est pas nouvelle, puisqu’elle date de 1955. Celle-ci "afflige" Barbara Lefebvre, chroniqueuse pour l’émission Les Grandes Gueules. "On est en plein délire. En forêt, on ne peut même plus lâcher son chien dans l'endroit où il peut un peu se sentir libre", a-t-elle déploré. "Les gens qui ont vraiment un chien éduqué et qui connaissent leur chien savent qu'il va répondre au rappel, et ceux qui savent qu'il n'est pas tenable le tiennent en laisse. C'est un manque de discernement", a-t-elle ajouté.

"Il y a des visages arrachés chaque année".................

Les nouveaux cas de cancers de la prostate vont doubler d'ici à 2040, prévient une étude

Tige, Cellules, Embryonnaire, Adn, 3D

Selon France Info : Cette hausse s'explique principalement par l'augmentation de l'espérance de vie dans les pays moins riches. 

"Selon nos conclusions, le nombre annuel de nouveaux cas va doubler de 1,4 million en 2020 à 2,9 millions en 2040." Une étude parue dans la revue médicale The Lancet, vendredi 5 avril, estime que les cancers de la prostate vont fortement progresser au niveau mondial dans les années à venir. Une tendance que les auteurs expliquent par "la hausse de l'espérance de vie et par des changements dans les pyramides des âges".

Le cancer de la prostate, qui est le plus courant chez les hommes, représente 15% de l'ensemble des cancers. Il se déclare après 50 ans dans la plupart des cas, et sa fréquence augmente fortement plus l'on avance en âge au-delà de ce seuil.

Le diagnostic, principal axe de progression

Vacances de printemps : voici les prévisions de circulation de Bison futé pour vendredi et ce week-end

La circulation sera modérément perturbée dans le sens des départs, en ce premier week-end des vacances scolaires concernant la zone C. C'est le début des vacances de printemps pour la zone C. Dès vendredi 5 février, la circulation sera un peu plus dense qu'à la normale, en particulier autour de Paris, selon les prévisions de trafic de Bison futé. L'organisme de prévision a classé l'Ile-de-France en orange vendredi et samedi dans le sens des départs, mais les trois prochains jours en vert au niveau national........ Voir et lire : https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/vacances-de-printemps-voici-les-previsions-de-circulation-de-bison-fute-pour-vendredi-et-ce-week-end_6468728.html

Circulation, Ville, Embouteillage

Changement dans la formation des enseignants : "C'est très grave pour l'avenir de l'école", s'inquiète la secrétaire générale du syndicat Snes-FSU

Le président de la République a notamment annoncé que le concours pour devenir professeurs des écoles sera désormais passé à la fin de la licence, au lieu de master 2 actuellement.

Étudiant, Mathématiques, Étude

Selon France Info : 

"Ce concours à bac +3 est synonyme de déqualification de nos métiers, c'est très grave pour l'avenir de l'école", alerte Sophie Vénétitay, secrétaire générale du syndicat Snes-FSU vendredi 5 avril sur franceinfo. Emmanuel Macron a annoncé que pour les professeurs des écoles, "le concours sera passé à la fin de la licence", soit à bac +3 au lieu de bac +5.

Une mesure censée attirer plus de professeurs, que les syndicats perçoivent comme "un coup porté au dialogue social", Sophie Vénétitay regrette notamment que les syndicats n'aient pas été sollicités pour échanger à ce sujet. Le Snes-FSU s'oppose à ce concours après seulement trois années d'étude, sa secrétaire générale le juge "extrêmement problématique" et craint que les candidats maîtrisent moins de connaissances disciplinaires...............

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/education/changement-dans-la-formation-des-enseignants-c-est-tres-grave-pour-l-avenir-de-l-ecole-s-inquiete-la-secretaire-generale-du-syndicat-snes-fsu_6468752.html

L’inauguration de la Station d’épuration de Villeveyrac, un équipement bien performant pour préserver la qualité du "milieu"

François-Xavier LAUCH, Préfet de l’Hérault, François COMMEINHES, Président de Sète agglopôle méditerranée, Maire de Sète, Christophe MORGO, Maire de Villeveyrac, Yves MICHEL, Vice-président délégué au grand et petit cycle de l’eau, Maire de Marseillan, Karine BONACINA, Directrice de la délégation territoriale de Montpellier de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse et les Vice-président(e)s et les Élu(e)s communautaires, ainsi que des équipes ayant participé à la réalisation de l'ouvrage... 

 ont

inauguré la Station d’épuration de Villeveyrac ce vendredi 5 Avril 2024

                                                                                          C'était une extension devenue nécessaire

Les discours dans leur intégralité :

 

Les suivants :

Lien vidéo

Les eaux usées de la commune de Villeveyrac collectées par un réseau d’assainissement séparatif étaient jusqu’alors épurées sur une station d'épuration d’une capacité de 3 500 EH (Equivalent Habitant) construite en 2005.

 Cette station assurait le service avec une conformité des rejets vis-à-vis de l’arrêté en vigueur. Néanmoins, son extension était devenue nécessaire compte tenu de l’évolution démographique et du classement en zone sensible à l’eutrophisation du ruisseau des Près Bas nécessitant d’améliorer la performance épuratoire.

 C'est maintenant un équipement performant, tourné vers l’avenir

 Pour répondre à ces enjeux, Sète Agglopôle Méditerranée, dotée de la compétence assainissement, a engagé en janvier 2022 un vaste chantier d’extension de la station d’épuration de Villeveyrac et son réseau de transfert. Les travaux qui se terminent aujourd’hui ont consisté à :

  • Augmenter la capacité de traitement de 3 500 EH (Equivalent Habitant) à 5 500 EH conformément à l’évolution démographique projetée dans le SCoT, avec une réserve foncière permettant à terme d’atteindre jusqu’à 8 000 EH.
  • Améliorer les performances épuratoires de la station avec le traitement de l’azote et du phosphore pour lutter contre le phénomène d’eutrophisation. L’eutrophisation est la conséquence d’un enrichissement excessif en nutriments conduisant à des perturbations majeures des écosystèmes.
  • Sécuriser le réseau de transfert des eaux brutes et les déversements dans le milieu naturel: la collecte des eaux brutes a été sécurisée par la suppression d’un poste de relevage sensible et l’extension d’un réseau gravitaire refait à neuf sur l’intégralité du Chemin des Pouzets, avec des travaux de confortement des berges du ruisseau. Un bassin d’orage de 800 m3 a également été créé en tête de réseau pour stocker les eaux pluviales excédentaires en cas de fortes précipitations, et ainsi éviter tout débordement du réseau.

 

Les principaux ouvrages de génie civil de la station d’épuration ont été achevés à la fin de l’été 2022 avant de laisser place au montage des équipements et aux raccordements hydrauliques et électriques. Les nouveaux ouvrages ont été progressivement alimentés pour une livraison définitive au cours de ce printemps 2024 à l’issue des travaux de réhabilitation du bassin d’orage.

 

Sur la station, les eaux usées sont épurées biologiquement par une méthode appelée « boues activées ». Cela implique que l’eau passe d’abord par un bassin d’aération où des turbines brassent l’eau pour favoriser le traitement biologique. Ensuite, elle passe par un clarificateur pour retirer les boues, impuretés en suspension. Enfin, elle subit un traitement supplémentaire de désinfection UV pour l’abattement bactériologique. Ce processus est similaire à celui utilisé à Mèze, avec un traitement final des boues sur lits plantés de roseaux.

Enfin, pour optimiser l’utilisation des ressources énergétiques, l’aire à boues couverte existante a été transformée en atelier et équipée d’environ 80 m² de panneaux photovoltaïques. Cette initiative permet de fournir environ 20 % de l’électricité nécessaire au fonctionnement de la station d’épuration.

 « Cette nouvelle station d’épuration répond aujourd’hui à deux enjeux majeurs. Elle permet tout d’abord d’assurer la collecte et le traitement des eaux usées de la population de Villeveyrac qui va continuer de croître. Elle permet ensuite de préserver nos écosystèmes et de les protéger des impacts qu’ils pourraient subir. L’amélioration significative des performances épuratoires préserve ainsi le ruisseau des Près Bas du phénomène d’eutrophisation. Le nouveau bassin de stockage permet quant à lui d’éviter les débordements du réseau et ainsi de rejeter des eaux usées non traitée dans le milieu naturel » précise Yves Michel, Vice-président de Sète Agglopôle Méditerranée délégué au grand et petit cycle de l’eau.

Montant des travaux :

Montant des travaux : 2 876 330 € HT

Subventions AERMC (Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse) : 872 996 €

 

Début des travaux : Janvier 2022

Réception des travaux : Printemps 2024

Réouverture du Belvédère de la Criée départementale du Grau d’Agde

 

 

Le Belvédère de la Criée départementale du Grau d’Agde accueille à nouveau le grand public pour des visites découverte. Nouvelles visites, réservations plus simples : tout est mis en œuvre pour valoriser la filière pêche, soutenue par le Département.

Un espace d’exposition unique

Le Belvédère, situé dans la criée du Grau d’Agde, propose une immersion dans le secteur de la pêche grâce à des visites guidées. Seule criée française du bassin méditerranéen ouverte au public, la criée du Grau d’Agde permet aux visiteurs de découvrir les coulisses de la pêche et de la vente aux enchères. En 2023, le Belvédère a dépassé son record de fréquentation avec 7 800 visiteurs locaux et internationaux accueillis.

 

Nouveauté 2024 : une visite « Tout sur le thon rouge » va être déployée.

Depuis 2023, les visiteurs peuvent aussi prolonger les visites par une dégustation des produits de la mer dans un espace cuisine convivial. Un atelier pour valoriser les démarches durables et les circuits courts par la consommation des produits de la mer locaux et faire évoluer les mentalités sur ce secteur méconnu en contrant les préjugés sur les odeurs, les arêtes et le prix des produits.

Site internet : crieeagde.com / Facebook : Le Belvédère de la criée du Grau d’Agde / Instagram : Le Belvédère de la criée

 

Infos pratiques :
Port de pêche départemental du Grau d’Agde, Quai Commandant Méric, 34300 Grau d’Agde06 16 07 09 62 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. – https://www.crieeagde.com/

Réservation obligatoire pour toutes les visites et animations. Pratique : il est désormais possible de réserver ses billets en ligne.

Pour une filière de la pêche durable

Le Département gère 8 ports départementaux qui sont répartis le long du littoral héraultais. Ils permettent aux pêcheurs et aux conchyliculteurs de bénéficier d'installations qui répondent à toutes leurs exigences environnementales et améliorent leurs conditions de travail. La criée du Grau d'Agde est un outil essentiel qui permet aux pêcheurs de commercialiser leur stock au meilleur prix et dans les meilleures conditions. La partie ouverte au public vise à mieux comprendre ce secteur et à encourager les jeunes à envisager d'y faire carrière. Accompagnée par le Département, la structure promeut la pêche durable en sensibilisant les professionnels et le grand public à l'importance de la préservation de la ressource halieutique.