Beaux Arts

A l’occasion des 150 ans de la disparition de l’artiste montpelliérain Frédéric Bazille

Aucune description de photo disponible.Visite poétique et musicale 
 A l’occasion des 150 ans de la disparition de l’artiste montpelliérain Frédéric Bazille, le Musée Fabre lui rend hommage par un accrochage spécifique.
 La Maison de la poésie Jean Joubertet le Musée Fabre proposent une visite poétique et musicale en vidéo, en attendant la visite guidée à la réouverture du musée au public !
 Pour saluer Frédéric Bazille, est un parcours en huit moments parmi les œuvres du peintre montpelliérain, qui ouvre non seulement sur la parole du peintre lui-même, à travers sa correspondance , et sur l’univers artistique , littéraire  et musical  dans lequel il a baigné, mais aussi, en écho, sur le regard de peintres et d’écrivains contemporains qui ont fréquenté ses œuvres au Musée Fabre.
 Pour saluer Frédéric Bazille, place est faite à la musique, essentielle pour le mélomane et musicien que fut Bazille. Héloïse Dautry (harpe) et Isabelle Mennessier (flûte) font entendre des pièces de Saint-Saëns, Fauré, Debussy, Massenet dont les recherches, dans l’effervescence artistique du temps, ont accompagné celles des peintres.
Frédéric Bazille (1841-1870), Réunion de famille dit aussi Portraits de famille1867Huile sur toile H. 152 ; L. 230 cm Paris, musée d'Orsay...
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L'Ecole des beaux-arts de Sète déménage au nouveau conservatoire de musique

L'Ecole des beaux-arts de Sète déménage au nouveau conservatoire de musique en prévision des travaux de rénovation de l'école !
 Pour cette raison, tous les cours et stages se tiendront au 23 rue Jean-Moulin à partir du lundi 29 mars.
Peut être une image de texte qui dit ’lui faire une beauté L'ÉCOLE DES BEAUX-ARTS BEAUX S'INSTALLE DANS L'ANCIEN CONSERVATOIRE DE MUSIQUE PENDANT LA DURÉE DES TRAVAUX DE RÉNOVATION DU BÂTIMENT ET DU PARC A PARTIR DU LUNDI 29 MARS 2021 RDV, 23 RUE JEAN MOULIN POUR COURS ATELIERS ET STAGES 1A ville sete’

Regard sur une œuvre - 82 - Albert André

Regard sur une œuvre Rendez-vous quotidien

Albert André (Lyon, 1869 – Laudun, 1954)

 

La Danseuse espagnole, 1902 Huile sur carton, 41 x 35,2 cm Réalisation et post production : Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr

Jean-Lou LAPINTE, une vie toute en couleur

Peut être une illustration

 

Jean Lou Lapinte, les Poussannais l’on découvert lors de « Songes d’Automne2018″ où il exposait le temps d’un week-end. A la fin du salon, il avait remporté le prix du public car celui-ci avait particulièrement apprécié ses oeuvres, la variété de ses techniques mais aussi les couleurs de ses peintures. Et ce n’était pas un hasard…

Car le petit Jean-Louis qui a d’abord grandi du côté de Lyon a été attiré très très tôt par le dessin avant d’apprécier tout autant la peinture. Scolarisé à Lyon puis, en suivant ses parents, dans le sud-est de la France, il s’accrochera à sa passion, celle de créer : ce sera grâce à la BD, le graphisme, la poésie, la sculpture sur bois….Et même la cuisine et la gastronomie.lapiIMG_20210316_174717

Si les années Bowie et celles des Punk laisseront des traces musicales indélébiles, Jean-Louis, adulte verra le dessin reprendre le dessus sur d’autres arts qu’il affectionne toujours. Un seul mot le guide : « La création ».

Peut être une illustration de une personne ou plusIl faut dire qu’entre lycées et entreprises il avait obtenu un CAP de traiteur mais il n’a pas exploré cette voie trop contraignante.

Après quelques petits « boulots » il s’est alors recentré sur la sérigraphie suite à une rencontre professionnelle. Il apprendra le métier, mais à l’époque sans informatique. Un peu de Beaux-Arts à Lyon et ses périgrinations le guideront vers les Alpes. Il s’épanouira dans un atelier de photo-gravure en réalisant différentes œuvres de grandes tailles.

Alors en couple, direction la Haute Savoie, puis Lausanne où il devint coloriste.

Dans une entreprise qui fabriquait des matériaux colorés il assemblait les colorants afin d’obtenir un produit de la couleur souhaitée.

Il pouvait s’agir de mélanger des peintures pour le bâtiment et la décoration pour obtenir la teinte correspondant à un nuancier. Et au-début ce fut « à l’oeil ».

(Dans la fabrication des peintures, la teinture des tissus et des papiers, la coloration des matières plastiques, le métier de coloriste requiert une formation en chimie et une connaissance des risques professionnels et environnementaux liés aux colorants, et plus encore dans l’industrie alimentaire.)

Il eut le temps de se former et de se perfectionner  puis au bout de 10 ans il partit pour Thonon Les Bains dans une autre entreprise ou il découvrit les nouveaux outils technologiques.

Les années passant, on lui confia des responsabilités, qu’il assuma jusqu’au bout puisqu’il fut victime d’une intoxication dans le cadre de son travail. Cela l’handicapera à vie.

Coloriste, c’était terminé, mais son don et sa passion pour les couleurs ne l’avaient pas quitté au-travers de ses peintures personnelles pour lesquelles aucun style ne prédominait, ce qui est toujours le cas.

Ce fut d’abord à l’huile sur toutes sortes de support (cartons, toiles, emballages) avec surtout de l’abstrait, en laissant de côté paysages et réalisme.

Il n’aime pas copier, n’utilise pas de modèles et reste fidèle à son esprit créatif inspiré par un Monde en mouvement, des personnes ou des sites, qui savent susciter en lui des réactions, de l’émotion.

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De l’huile il est passé à l’acrylique et il précise : « Je m’attache plus aux formes et aux volumes au gré de mes envies en réalisant des maquettes sur feuilles A4. Le tableau se construit alors petit à petit en fonction des évolutions ».

Il a souvent près d’une vingtaine de peintures en cours qui reflètent ce besoin de créer qui anime sa passion

Côté couleurs, pas de soucis, c’est comme nous l’avons vu, un expert en la matière.

Et l’on se laisse porter par ses œuvres qui, que l’on soit néophyte ou connaisseur, éveillent notre sensibilité…

Jean-Louis Lapinte, un Maître des couleurs…

Jean-Marie P

Peut être de l’art

 

Regard sur une œuvre - 84 - Camille Descossy

Regard sur une œuvre Rendez-vous quotidien Camille Descossy (Céret, 1904 – Castelnou, 1994)

 

Le Figuier mort, 1934 Huile sur toile, 38 x 60 cm

Réalisation et post production : Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.fr

Jeu question-réponse autour d’une œuvre : Henry Grégoir

 

Jeu question-réponse autour d’une œuvre Henry Grégoir (Anvers, 1818-1853) Intérieur moyenâgeux, 1842 Huile sur bois, 52,5 x 64,8 cm

Réalisation et post production : Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr

Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.fr

Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr

Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.fr

A l'occasion du 150e anniversaire de Frédéric Bazille avec le Musée Fabre

A l'occasion du 150e anniversaire de Frédéric Bazille, le service des publics du Musée Fabre nous offre une immersion par le son dans l’œuvre de l'artiste.
 Il vous transporte aujourd'hui dans l'atelier de la rue de Furstenberg.
Bazille s’installe en janvier 1865 avec Monet dans cet appartement-atelier, quelques étages au-dessus de celui occupé à la fin de sa vie par Delacroix, un prédécesseur que Bazille admire.
Fier de son nouveau statut d’artiste, il représente son atelier vide de toute présence humaine mais rempli de symboles :  l’encrier sur la table évoque ces activités épistolaires ; au sol est posée une boîte de couleurs portative et une palette ; à travers ces objets, ce sont leurs nouvelles expériences de peinture en plein-air  qui sont évoquées et, principalement, le travail de Monet.

Jeu question-réponse autour d’une œuvre - Toussaint Roussy

 

Jeu question-réponse autour d’une œuvre Toussaint Roussy (Sète, 1847 – Bordeaux, 1931)

À bord de l’Hérault, 1897 Huile sur toile, 72,9 x 53,9 cm

Réalisation et post production : Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr

Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.fr

Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.fr

Valentine Schlegel : une reconnaissance globale.

Aujourd'hui, c'est tout l'univers globalisé de l'Art, des professionnels aux particuliers, qui rend hommage à celle qui fut, pourrait-on dire, "ouvrière d'art". Cette pionnière entre dans l'esprit de notre époque. Et sa démarche a été célébrée, en novembre 2020, galerie Obadia à Paris (rue du Cloître Saint Merri dans le IVe).

 

La personnalité de Valentine Schlegel est appréciée à présent. Voici, dès les années 40, une femme "affranchie et douée" ! (1) Homosexuelle, fumant des P4 (les cigarettes les moins chères), elle gagne la capitale pour vivre comme bon lui semble. Et puis, elle a l'instinct. Elle écrira en 1978 : "Je n'ai jamais essayé de faire une œuvre. Il fallait vivre et survivre avec ce que j'avais...un corps solide". (2) Nombre de femmes céramistes sont allées vivre dans des villages historiques de potiers (La Borne, Vallauris) et sont restées dans l'ombre. Ni les objets quotidiens, ni les vases ne font vivre Valentine Schlegel. Elle donne alors des cours de modelage aux jeunes du lycée de Sèvres, puis aux Arts Décoratifs. Et puis, elle va travailler un nouveau matériau pour décliner un nouveau concept : elle va mettre au point le "staff", une sorte de plâtre armé pour construire des cheminées dans les living-rooms. Un vrai travail de maçon qui demande une assistance.

Elle œuvra jusqu'en 1977 avec comme assistant son neveu Blaise Fournier (fils de sa sœur cadette Suzanne) qui soulignera qu'il fallait, pour venir à bout d'une cheminée, trois semaines et "une sacrée énergie". Valentine Schlegel en construira pour Gérard Philippe et Jeanne Moreau… Est-ce que ce sont les artistes qui, les premiers, ont voulu apporter de l'extravagance dans l'espace bourgeois ?

D'autant que ces cheminées-là possèdent caches et banquettes. Et, au cœur des grandes cités, Sète n'est pas oubliée. Les cheminées sont toutes en courbes, rappelant les voiles méditerranéennes. De 1959 à 2002, elle en construira une centaine. Certaines seront exposées en 1965. Mais c'est des années 2000 que date la pleine reconnaissance. En 2004, elle est signalée dans l'anthologie de la céramique d'après guerre du galeriste Pierre Standenmayer. En 2013, la plasticienne Hélène Bertin livre le résultat de ses longues recherches sur l'art de Schlegel. Et ses œuvres sont exposées dans les Centres d'Art Contemporains. En 2017, à Brétigny sur Orge. En 2019, à Sète.

 

Que ce soit "une fille de Sète qui a fabriqué des objets sans se poser de questions", une artiste instinctive peut-être. Mais Hélène Bertin évoque la création de formes intemporelles…" Originales,...singulières ?

 

1) "M", Le Monde magazine, 11-19 novembre 2020

2) id.

Jeu question-réponse autour d’une œuvre - Fernand de Chambord

 

 

Jeu question-réponse autour d’une œuvre Fernand de Chambord (Paris, 1840-Sète, 1899)

Message d’amour, 1891 Huile sur toile, 146 x 90 cm

Réalisation et post production : Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr

Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.fr

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Pour saluer Frédéric Bazille - Les ateliers2 du Musée Fabre

 
Visite poétique et musicale 
 A l’occasion des 150 ans de la disparition de l’artiste montpelliérain Frédéric Bazille, le Musée Fabre lui rend hommage par un accrochage spécifique.
 La Maison de la poésie Jean Joubert et le Musée Fabre proposent une visite poétique et musicale en vidéo, en attendant la visite guidée à la réouverture du musée au public !
 Pour saluer Frédéric Bazille, est un parcours en huit moments parmi les œuvres du peintre montpelliérain, qui ouvre non seulement sur la parole du peintre lui-même, à travers sa correspondance , et sur l’univers artistique , littéraire  et musical  dans lequel il a baigné, mais aussi, en écho, sur le regard de peintres et d’écrivains contemporains qui ont fréquenté ses œuvres au Musée Fabre.
 Pour saluer Frédéric Bazille, place est faite à la musique, essentielle pour le mélomane et musicien que fut Bazille. Héloïse Dautry (harpe) et Isabelle Mennessier (flûte) font entendre des pièces de Saint-Saëns, Fauré, Debussy, Massenet dont les recherches, dans l’effervescence artistique du temps, ont accompagné celles des peintres.
Frédéric Bazille (1841-1870), L'Atelier de la rue de Furstenberg, 1865 - 1866, Huile sur toile
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Atelier Pop Up aux Beaux-Arts !

 
Samedi 13 mars!! De 10H à 12H pour les 8-12 ans
Gratuit
Places limitées
Inscriptions par mail uniquement à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Aucune description de photo disponible.

Musée Paul Valéry : Regard sur une œuvre - Émile Troncy

Regard sur une œuvre Rendez-vous quotidien Émile Troncy (Sète, 1860 – Marseille, 1943) Triptyque Promenade sur les quais de Sète, 1936

Huile sur toile, 270 x 200 cm Décharges d’un cargo à Sète, 1936 Huile sur toile, 270 x 200 cm Allégorie de l’épargne à Sète, 1937 Huile sur toile, 270 x 200 cm

Réalisation et post production : Agence Réflexion[s] https://www.agence-reflexions.fr

Copyright : Musée Paul Valéry – Sète https://www.museepaulvalery-sete.f