Dans le cadre d'un partenariat avec l’IUT de Montpellier-Sète, Sète agglopôle méditerranée a proposé aux étudiants d'organiser un concours dédié aux commerçants du territoire afin de valoriser ceux qui se sont engagés dans une démarche environnementale. 

 Avec enthousiasme et créativité, les 18 étudiants inscrits en BUT GEA à Sète (Bachelor Universitaire de Technologie, Gestion des Entreprises et des Administrations) ont décidé de relever le défi.

 Ils organisent ainsi le concours d’éco’mmerçants pour mettre en lumière celles et ceux qui agissent en faveur de l’environnement grâce à leurs pratiques d’économie circulaire, qu’il s’agisse :

·       Du Réemploi de matériaux ou de marchandises,

·       De la Réduction des emballages et des déchets,

·       De pratiques de Recyclages innovantes.

Cet évènement éco-responsable s’inscrit parfaitement dans le parcours de formation GEMA des étudiants (Gestion, Entrepreneuriat et Management d'Activité). Ce programme vise à leur offrir des situations pédagogiques leur permettant de travailler sur des projets impliquant des dynamiques d’économie circulaire.

 Tous les commerçants du territoire sont invités à s’inscrire en ligne au concours d’éco’mmerçants afin de partager leurs bonnes pratiques en matière de réduction des déchets et de réemploi. Les étudiants sont également sur le terrain pour rencontrer et prendre contact avec les commerçants. Nous vous remercions de leur réserver votre meilleur accueil !

 A l’issue du concours, un jury désignera les commerçants qui ont développé les « meilleures » initiatives. Ils seront mis à l’honneur lors d’une soirée conviviale.

Inscriptions ouvertes jusqu’au 22 janvier 2024 : https://docs.google.com/forms/d/1E5vJS83gwO28MpAJKtyTGW7rE06AmO6IxJbDhwnI9IU/prefill

Selon France Info : Un premier round de négociations entre la grande distribution et ses fournisseurs doit prendre fin demain, lundi 16 janvier. C'est tout le volet des discussions qui implique les petites et moyennes entreprises. Des hausses vont concerner certains produits alimentaires.

Nous parlons aujourd'hui des négociations commerciales en cours jusqu'à demain lundi entre la grande distribution et les fournisseurs. L'objectif est de définir les prix dans les rayons pour l'année qui vient, et donc, en partie, les prix de l'alimentation. Le sujet est électrique. Ces discussions sont suivies de près. Les différentes parties se répondent par presse interposée, sous le regard bien sûr des politiques et des Français, qui attendent des baisses. Mais des hausses vont aussi survenir sur certains produits.

franceinfo : Jean Viard, ça veut dire qu'avoir l'argent suffisant pour bien se nourrir au quotidien, ce n'est pas forcément une évidence ? 

Jean Viard : Ce n'est pas une évidence. En plus, on avait perdu la culture de l'inflation. On sort d'une longue période où on était dans la culture du chômage, et donc les gens se demandaient comment faire pour le contourner, pour s'en sortir, etc. Aujourd'hui, il faut apprendre la culture de l'inflation parce que les gens ne consomment pas pareil, ils s'adaptent. Après, ce qui est vrai, c'est que quand on mangeait déjà des pâtes quasiment tous les jours, on ne peut pas s'adapter.

Et l'alimentation a beaucoup plus augmenté que les autres produits, depuis deux ans. Et ça a beaucoup plus touché les milieux populaires, parce que la part de l'alimentation dans les revenus modestes, est plus importante. Les gens aisés consacrent à peu près 14% de leur revenu à se nourrir, et souvent avec des produits de qualité, voire des restaurants.................. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/question-de-societe/inflation-l-alimentation-a-beaucoup-plus-augmente-que-les-autres-produits-depuis-deux-ans-et-ca-a-beaucoup-plus-touche-les-milieux-populaires-souligne-jean-viard_6284139.html

Ephéméride du lundi 15 janvier 2024

Très belle cérémonie des vœux de la Ville de Mèze, tant par son contenu que par sa présentation… La symbiose municipalité-population, à notre connaissance, n'a jamais été aussi "flagrante"… Il se passe et il s'est passé quelque chose de très fort en cette soirée du 12 janvier 2024… à commencer par le clip vidéo du service communication !

Discours de M. Thierry BAËZA, maire de la ville (extraits)…

• Mesdames et Messieurs les représentants des Corps constitués,
• Mr Sébastien Denaja, Conseiller régional (représentant Carole Delga),
• Mr Sébastien Rome, Député de la 4^e circonscription,
• Mme Audrey Imbert, Conseillère départementale et adjointe à la ville de Mèze,
• Mr Christophe Morgo, Vice-président départemental et maire de Villeveyrac (représentant Kleber Mesquida),
• Mr Josian Ribes, Maire de Montbazin et vice-président de Sète Agglopole,
• Mr Norbert Chaplin, Maire de Balaruc le vieux, vice-président de Sète Agglopole,
• Mesdames et Messieurs les élus représentants des communes voisines,
• Mesdames et Messieurs les élus de Mèze,
• Mesdames, Messieurs les représentants de la gendarmerie, sapeurs-pompiers, SNSM, Police municipale, gardes champêtres, Mesdames et Messieurs les responsables des associations locales, toutes et tous, l'ensemble du conseil municipal se joint à moi pour vous remercier chaleureusement de votre présence…

… soyez convaincus que rien n’est plus important, pour nous, que de continuer à nous montrer dignes de la confiance que vous nous avez accordée. Avant toute chose, je voulais rappeler que les grands investissements, les chantiers d’envergure et les équipements structurants, s’ils sont essentiels à notre communauté, ne représentent que la partie visible de l’iceberg. Voilà pourquoi je tenais à profiter de l’occasion qui m’est donnée, ce soir, pour rendre hommage à tous les agents municipaux qui, le plus souvent dans l’ombre, travaillent pour faciliter et améliorer notre quotidien. Je pense à ceux qui assurent la propreté de nos places et de nos rues ; ceux qui entretiennent nos voiries, nos bâtiments publics, nos écoles, nos équipements sportifs ; ceux qui fleurissent et entretiennent nos espaces verts ; ceux qui accueillent nos anciens à l’Ehpad ; ceux qui apportent aide et soin à domicile pour les plus fragiles ; ceux qui préparent et servent des centaines de repas chaque jour dans nos cantines scolaires ; ceux qui accueillent les enfants dans les crèches, les garderies périscolaires et les centres de loisirs ; ceux qui nous accompagnent dans les services pour nos démarches administratives ; ceux qui assurent notre sécurité et notre tranquillité…

Vous le voyez, au-delà des chantiers ou des équipements, l’action municipale a un visage humain. Imaginez la vie à Mèze sans celles et ceux qui incarnent avec courage et détermination notre service public… Je crois qu’ils méritent amplement notre reconnaissance et nos remerciements. Je le dis souvent mais je le répète ce soir, j’ai le privilège de pouvoir m’appuyer sur une équipe municipale de femmes et d’hommes plus que jamais fidèles à leurs engagements, unis et compétents. Dans cette équipe il y a du caractère, de la compétence mais aussi beaucoup de générosité. Permettez-moi, ce soir, devant vous, de les saluer collectivement…

de gauche à droite : Christophe MORGO, Audrey IMBERT, Sébastien ROME

… en 1600, William Shakespeare écrivait : « C’est un malheur des temps que les fous guident les aveugles ». Quatre siècles plus tard, ces mots nous renvoient toujours à la cruelle réalité du monde. Vous allez me dire : pourquoi le maire de Mèze nous parle des conflits dans le monde ? Tout simplement parce que Mèze n’est pas sur une autre planète, parce que notre économie est lourdement impactée par la situation internationale et que cela touche directement chacun d’entre nous… Il y a quelques jours, l’INSEE publiait les résultats de ses dernières études démographiques basées sur le recensement de 2021. Les chiffres indiquent qu’entre 2015 et 2021, notre population a progressé de 1,6% pour atteindre officiellement 12 834 Mézoises et Mézoises. En réalité, la barre des 13 000 a déjà due être franchie. Mèze s’inscrit d’ailleurs dans une tendance plus générale de gain de population constatée sur tout le bassin de Thau. Bien sûr, notre commune bénéficie de nombreux atouts, notamment une qualité de vie que beaucoup nous envient et qui rendent notre ville particulièrement attractive. Il faut aussi analyser ces chiffres au regard du développement immobilier qu’a connu Mèze au cours des deux dernières décennies. Un développement massif que nous nous efforçons de maîtriser depuis que nous avons été élus… 

… Agir pour notre ville comme nous le faisons, c’est tout d’abord se donner la capacité d’agir. Et rien ne se fait sans le nerf de la guerre qu’est l’argent. L’an dernier à la même époque, nous savions que 2023 serait une année difficile avec, notamment, une hausse inédite de 600 000 € du coût de l’énergie sur le seul budget communal. Pourtant, nous avons décidé de faire face sans céder au réflexe compulsif de beaucoup de collectivités : l’augmentation des taux d’imposition. Aujourd’hui, nous pouvons nous réjouir d’avoir relevé un défi qui était loin d’être gagné d’avance : ne pas accentuer la pression fiscale, en préservant la qualité de nos services à la population et en réalisant près de 4 millions d’euros d’investissement pour notre commune. 4 millions, c’est deux fois plus que les investissements réalisés, en moyenne annuelle, lors du mandat précédent. Et à tout cela, il faut ajouter un désendettement de 2 millions d’euros de la ville au cours des deux dernières années. Comment y sommes-nous parvenus ? D’abord, grâce à une maîtrise rigoureuse de nos dépenses de fonctionnement qui nous a donné une bonne capacité d’autofinancement. Ensuite, grâce aux 1,2 million d’euros de subventions que nous avons perçus…, ce qui constitue un record pour Mèze. Je remercie au passage l’État et ses établissements publics, la Région Occitanie, le Département de l’Hérault Audrey IMBERT, Christophe MORGO, Sète Agglopôle, pour leur précieux soutien financier. Pour ces bons résultats, nous pouvons saluer le travail de toute l’équipe municipale, des services qui gèrent nos finances mais aussi la rigueur et le sérieux de l’ensemble des services de la Ville.

Avis de rappels de produits

 RappelConso

RappelConso, le site unique des alertes de produits dangereux, est accessible au public depuis avril 2021.
En cas de rappel de produits destinés à un consommateur final, les professionnels doivent, en complément du signalement à l’administration, en effectuer la déclaration sur le site RappelConso professionnel.
Les consommateurs peuvent consulter les rappels de produits déclarés sur le site RappelConso grand public.
Seuls resteront sur cette page :

• les rappels antérieurs au mois d’avril 2021 ne faisant pas l’objet de modification ou de mise à jour ;
• des informations relatives aux rappels de produits à compter d’avril 2021 en complément de celles figurant sur RappelConso.

(1) Constitue un retrait, toute mesure visant à empêcher la distribution et l'exposition à la vente d'un produit, ainsi que son offre au consommateur.
(2) Constitue un rappel toute mesure visant à empêcher, après distribution, la consommation ou l'utilisation d'un produit par le consommateur et/ou à l'informer du danger qu'il court éventuellement s'il a déjà consommé le produit.

Le site prix-carburants.gouv.fr permet de consulter gratuitement les prix des carburants, partout en France métropolitaine, sous forme de carte interactive. Une version mobile est également disponible. Elle vous aide à identifier le point de vente où le carburant est le moins cher, depuis votre téléphone. On vous explique comment utiliser ces outils.

Comment utiliser la version sur smartphone ?

Vous pouvez consulter le site prix-carburants.gouv.fr directement depuis votre téléphone mobile.

Pour ce faire, il suffit de choisir votre type de carburant, puis votre localisation, soit en indiquant le code postal recherché, soit en cliquant directement sur l'icône de géolocalisation. Vous obtiendrez alors les prix pratiqués par les stations les plus proches.

À quelle fréquence l’information est-elle mise à jour sur ce site ?

L'arrêté ministériel du 20 novembre 2007 précise que : « tout distributeur exerçant une activité de vente au détail des carburants affiche ses prix de vente au détail aux consommateurs du supercarburant sans plomb 95, du gazole, du superéthanol E85 et du gaz de pétrole liquéfié GPL sur le site internet : www.prix-carburants.gouv.fr ».

L'information sur les prix des carburants est ainsi mise à jour quotidiennement, toute modification du prix de vente devant être « immédiatement affichée ».

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) effectue des contrôles réguliers des prix affichés. 
 

Les travaux de restauration prévus vont s'échelonner environ sur deux ans. Un

Et bien entendu, c'est l'étanchéité de l'édifice qui sera traitée en premier.

L'église sera fermée, mais partiellement, à partir du milieu de l'année 2024.

Pourtant, déjà en 2020, la décanale Saint-Louis avait eu droit à une rénovation : l’édifice, classé au titre des Monuments historiques, mais fatigué par les années, a fait effectivement “peau neuve”. Une première phase de travaux d’urgence – réfection du sol, de certains parements, vérification des cerclages, pose d’un filet de protection sur la corniche -avait démarré le 12 octobre 2020

Un diagnostic a ensuite été rendu d’ici la fin  pour déterminer précisément le reste des travaux à mener.

La Ville avait alors également lancé une consultation afin de restaurer l’orgue construit en 1843. 

les travaux de dépose de l’orgue Moitessier de l’église décanale Saint-Louis ont ensuite débuté en 2023, en mars pour un remontage prévu durant l’été 2026 (513 000 € HT) afin de restaurer totalement l’instrument, construit en 1843 par Prosper-Antoine Moitessier (1807-1867), témoin d’un haut savoir-faire tant technique que musical et classé au titre des monuments historiques par arrêté du 15 janvier 1975. Assurément l’un des plus beaux instruments de ce type du sud de la France !

La restauration, qui va durer trois ans, était devenu inéluctable. L’orgue, d’esthétique néogothique et polychrome, à la conception unique, a en effet fait l’objet d’une étude préalable, initiée par la Ville entre juin et novembre 2020, qui a mis en avant une série de pathologies. La principale concerne « la corrosion avancée de la tuyauterie intérieure » avec une forte oxydation de l‘étain causée par l’air ambiant de l’édifice. Mais ce n’est pas la seule : le buffet, notamment, présente « des désordres » et les sommiers « des pertes d’étanchéité ».

Une restauration devenue inévitable

Conséquences : accords et harmonie dégradés, fonctionnement aléatoire des tuyaux postés, toucher irrégulier et imprécis, etc. L’étude préalable concluant dès lors à la nécessité de procéder à une restauration complète de tous les organes de l’instrument : buffets, alimentation, sommiers, postages et pièces gravées, transmissions, console et tuyauterie. Le tout, en tentant de prendre en compte l’évolution stylistique de l’orgue et en respectant sa conception par Prosper-Antoine Moitessier.

Un appel aux dons à travers la Fondation du patrimoine

L’orgue est abrité dans l’église décanale Saint-Louis qui, dominant fièrement le port, face à la Méditerranée, constitue un des rares vestiges du passé de la ville. Témoin de tous les événements dramatiques et heureux, elle reste chère dans le cœur des Sétois.

La Ville, au-delà de ce symbole, souhaitait mettre en valeur le projet de restauration, en commençant dans un premier temps par l’orgue, pour organiser ultérieurement des concerts et autres animations.

Et donc depuis décembre 2023, un appel d'offre a été lancé concernant la restauration de l'église Saint Louis, en se concentrant sur la nef et le narthex surtout pour l'étanchéité :  située au coeur du Quartier Haut de Sète, construite à la toute fin du XVIIe siècle par l'architecte Augustin-Charles d'Aviler. C'est la plus ancienne et la plus importante de la ville, d'où la dénomination « décanale » (église du doyen).

Elle est classée au titre des monuments historiques par arrêté du 9 mars 1989.

Ayant constaté de nombreuses dégradations et pathologies, la Ville de Sète souhaite entreprendre des gros travaux de réparation sur l'édifice, suite au diagnostic approfondi réalisé par l'architecte du Patrimoine Frédéric Fiore en 2021 et subventionné par la DRAC.