Frontignan

Frontignan commémore le cessez-le-feu du 19 mars

Comme chaque année, le monde combattant, le souvenir Français et la ville de Frontignan la Peyrade et quelques habitants ont commémoré ce dimanche matin le 19 mars 1962, date du cessez-le-feu en Algérie, instauré par les accords d’Evian qui ont mis fin à 8 années de combats.

Rassemblés à la stèle du souvenir, autour conseiller municipal, Jean Louis Patry, élu délégué au devoir de mémoire, pas moins de sept élus, presque autant que de spectateurs, dont Mme Béatrice Buj, déléguée à la petite enfance qui a fait lecture du message de la secrétaire d’état, Patricia Mirallès

« (extrait) Après les commémorations du 60e anniversaire voulues par le président de la République, les gestes et les déclarations, une nouvelle page doit pouvoir s’ouvrir. Il nous faut continuer à regarder et accepter ce pan de notre histoire collective dans son extrême complexité, assumer d’en transmettre la mémoire, mais sans transmettre aux nouvelles générations les passions d’alors. Il nous faut admettre que des mémoires diverses s’expriment et que la seule voie est de les additionner et non de les opposer. C’est le seul chemin pour la cohésion nationale. »

A noter la prise de parole de deux jeunes volontaires européen actuellement en stage à Frontignan la Peyrade

Il est procédé ensuite au traditionnel dépôt de gerbes de souvenir Français et de la municipalité

« Aujourd'hui on ne commémore pas une victoire, ni une défaite, mais la fin d'une guerre posée officiellement par un cessez le feu à la suite d'accord. On rend hommage à ces jeunes, françaises, français, qui sont morts dans cette guerre ... » conclura le délégué au devoir de mémoire

Les dromadaires sont parmi nous.

Pour les frontignanais qui voulaient se dépayser, c'est à la maison des seniors Vincent Giner qui fallait se rendre pour voir l’exposition de la famille Le Meur ce dimanche 19 mars.

"En 2010 nous avons créé l'association Dromasud, une structure style club de loisirs pour découvrir et apprendre aux personnes à monter des dromadaires."

 Un troupeau pas comme les autres que sont ces bosseurs : Tchico, Tenza, Titouan , Taïga. ".

Pour cette exposition, « Les dromadaires parmi nous », la famille Le Meur a su s’assurer du partenariat du « Musée Saharien » du Crès, seul musée d’Europe consacré au désert et que chapeaute le grand Bernard Adell-aidé d’un autre Bernard, lequel musée a prêté quantité d’objets, d’affiches et panneaux destinés à mieux faire entrer le public dans l’univers des espaces sablonneux.

Pendant que M. et Mme Le Meur fabriquent de magnifiques selles de cuir décorées et d’autres produits dérivés du lait de chamelle entre autres, Coralie joue les guide et accompagnatrice sur les pistes de la Gardiole. Elle joue même la « coach » pour le cinéma et ses vedettes, comme Cécile Bois et Alexandra lamy, venues se frotter à la compagnie des dromadaires.

Alexandra Lamy s’est enrichie des conseils de Coralie avant d’aller tourner au Maroc pour un de ses derniers films.

CinéMistral - LA SYNDICALISTE Jeudi 23 mars à 18h et 20h30

Rencontre exceptionnelle en présence de : Maureen Kearney, personnage principal du film, Jean-Paul Salomé, réalisateur (sous-réserve)

Soirée organisée en partenariat avec la CFDT.

La syndicaliste Maureen Kearney

La Syndicaliste" de Jean-Paul Salomé, en salle le 1er mars 2023, raconte l'histoire vraie de Maureen Kearney, incarnée à l'écran par Isabelle Huppert. Lanceuse d'alerte menacée, cette élue syndicale a été violée à son domicile en décembre 2012, puis violemment accusée d'avoir mis en scène cette agression. La double peine pour cette victime, qui consacre son nouveau quotidien à en aider d'autres. Rencontre

Synopsis : En 2012, Maureen Kearney, déléguée syndicale chez Areva, est agressée à son domicile. Elle pense que c’est le prix de son indépendance et du bras de fer qui l’oppose avec le nouveau patron d’Areva. Mais contre toute attente, la police l’accuse de dénonciation mensongère.

 Un film-dossier qui met la lumière sur une probable affaire d'État. Adapté du livre La Syndicaliste de Caroline Michel-Aguirre.

Prévente vivement conseillée. Achat des places directement au cinéma ou sur notre site : www.cinemistral.fr

Cérémonie commémorative du 61e anniversaire des accords d’Evian et du cessez-le-feu de la guerre d’Algérie

Pour commémorer le 61e anniversaire de la signature des accords d’Evian et du cessez-le-feu de la guerre d’Algérie, les associations d’anciens combattants (FNACA et Souvenir Français) et la Ville de Frontignan la Peyrade invitent la population à la cérémonie qui se déroulera le dimanche 19 mars à 11h à la stèle des accords d’Evian et du cessez-le-feu-en Algérie, rue de la Raffinerie à Frontignan.

34 TOURS : Le Département ouvre les candidatures pour l’édition 2023

 

La nouvelle saison de 34 Tours est lancée ! Pour cette 17ème édition, le Département invite les jeunes musiciens héraultais, à soumettre leurs œuvres à un jury. 5 groupes émergents de musiques actuelles seront sélectionnés pour bénéficier d’un accompagnement professionnel. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 7 avril.

Le Département soutient la jeune scène musicale héraultaise

En partenariat avec le Sonambule à Gignac, la Cigalière à Sérignan, la salle Victoire 2 à Saint Jean de Védas et le Théâtre d’O à Montpellier, le Département déploie son dispositif « 34 Tours » pour accompagner de jeunes groupes de musiques actuelles dans la réalisation et la structuration de leur démarche artistique. En soutenant les artistes émergents, la collectivité porte une ambition culturelle qui valorise les talents locaux !

Cinq groupes seront sélectionnés par un jury pour bénéficier d’un accompagnement comprenant :

  • Des résidences de coaching scénique
  • Des rendez-vous conseils sur le développement de leur projet
  • Des concerts dans les lieux partenaires
  • Des rencontres avec les équipes des lieux partenaires

17 ans du dispositif 34 Tours

Le Département déploie ce dispositif pour la 17ème année consécutive. Un franc succès à chaque édition de ce programme qui offre une opportunité unique aux lauréats de structurer leurs projets professionnels et trouver leur public.

Parmi les groupes ayant bénéficié de l’accompagnement 34 tours, on peut citer des artistes aussi divers que Gérard Jugno 106 (electro) Bois Vert (rap), Orage (chanson), The Silly Walks (rock)…

 

 

Comment participer ? 

Le dossier de candidature est téléchargeable sur le site internet du Département de l’Hérault : herault.fr 

Ou sur demande auprès de Guilhem Trébuchon : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 DATE LIMITE DE DEPÔT DES DOSSIERS : vendredi 7 avril 2023

 Après réception des candidatures, un jury sélectionnera les groupes sur écoute des titres joints et de leur parcours

 Qui peut participer ?

Pour participer à 34 tours, il faut :

-          Avoir une structure associative support dont le siège social doit être localisé dans l’Hérault (plus qu’une simple domiciliation dans l’Hérault, la vie musicale du groupe doit y être significative)

  • Exister depuis au moins 2 ans avec une équipe artistique stable
  •  Travailler à une démarche de professionnalisation active
  • Avoir un répertoire original rodé d’au moins 45 mn (reprises exceptées)
  •  Avoir donné une quinzaine de concerts dans les 2 années écoulées
  •  Posséder un enregistrement d’au minimum 4 titres
 

 

 

Basket-ball : Le Frontignan Lapeyrade Basket proche d'assurer son maintien en N3

L'équipe de Slobodan Ocokoljic reçoit Rodez Basket Aveyron, ce samedi 18 mars à 20 h, salle Roger-Arnaud. Le FLPB (11é) affrontera à domicile IE - RODEZ BASKET AVEYRON (6e) à l'occasion de la 21e journée de Nationale 3 masculine en poule B.

À un succès à domicile pour se mettre à l’abri ?

À cinq journées de la fin du championnat, le maintien est tout proche pour les joueurs du Frontignan Lapeyrade basket.

Avec un point de mieux que le premier relégable, il ne manque probablement qu’un seul succès aux Frontignanais pour assurer leur place en N3 la saison prochaine.

Le Député Sylvain Carrière en visite à la cuisine centrale du Sivom de Frontignan.

Ouverte à la rentrée 2019-2020, la cuisine centrale du Sivom de Frontignan livre chaque jour environ 2 500 repas dans les établissements scolaires de Frontignan , Balaruc les Bains , Balaruc le Vieux, Vic la Gardiole et Mireval.

Cette unité de restauration publique, en liaison froide, travaille dans le plus grand respect de l’environnement, des producteurs locaux et de l’hygiène.

Accompagné par Michel Arrouy, président du Sivom et maire de Frontignan et de Nadine Torres directrice du Sivom, le député Carriere a eu l’occasion de s’entretenir avec la vingtaine d’agents qui travaillent sur place et de découvrir l’envers du décor de ce bel outil à la disposition des jeunes élèves du canton.

Un outil d’autant plus précieux en cette période d’inflation avec une volonté affichée de maintenir inchangé le prix du repas.

Musc'art 126 (2) : Dominique Thomas, un samouraï contre la doxa

Après Marco Libro, c’est une expérience nouvelle qui a été tentée par Musc’art, en offrant une tribune d’expression à Dominique Thomas -de son nom de plume Moquaden Shomiti, l’anagramme de son nom- un écrivain sétois désormais parmi les plus fidèles adhérents de l’association.
Il avait « des choses à dire » ? Il voulait satisfaire à sa devise japonaise « moshi moshi » (je vais parler, je veux parler) Eh bien on l’a laissé développer le contenu de son formidable réservoir inépuisable de pensée(s) qui lui fait office de cerveau. Un réservoir sans fond bouillonnant de pensée mais aussi de culture(s), accumulées au cours de plusieurs voyages qui l’ont mené de l’Egypte eu Japon et lui ont permis d’écrire des ouvrages d’essence poétique, romancière, philosophique et surtout scientifique, cet ingénieur en informatique étant un ponte qui s 'est établi une réputation quasiment internationale.
Passionné d’écriture, de parole, de transmission pour inciter à la réflexion, Dominique n’a pas manqué dans son exposé de remuer nos neurones, se montrant d’autant plus convaincant qu’il n’a de cesse d’argumenter avec des faits scientifiques, des rapports, des discours prononcés, des expériences de vie, qu’on acceptera ou pas mais qui ont au moins le mérite d’exister..
Et alors d’opposer la fameuse « doxa », l’opinion reçue dominante, « la volonté de vouloir normaliser les choses », à « la pensée », celle des chercheurs par exemple, qui se retrouvent évincés, s’ils ne suivent pas la ligne…de la doxa, une doxa qui se trouve imposée par tous les pouvoirs en place et relayée par les médias, qui n’offrent aucun salut à ceux qui pensent différemment.
D’où une vie des gens qui va être de plus en plus contrôlée aux dépens du bon sens humain et entraîner diverses dégradations en matière d’économie, de finances publiques, dans les banques (euro numérique), l’argent de tous les jours, la santé, l’agriculture et combien d’autres domaines qui nous touchent de près. Un grand « crash » en vue ? De quel côté va pencher l’humanité ? Voilà le grand mérite de Dominique : nous inciter à penser, à voir plus loin que le bout de notre nez, à peser le pour et le contre, à échanger, comme il a pu le faire avec le public, parfois un peu dubitatif sur son « pessimisme », lequel est en tous cas fortement truffé de réalisme et de données (scientifiques, toujours) incontestables.
Pour en savoir plus, n’hésitons pas à nous tourner vers le blog de Dominique, le prolongement de tout ce qu’il a dit jeudi dernier à Musc’art. https://mshomiti.com/

Musc'art 126: Marco Libro, toujours noir mais dans l'humain

Pour ce 126è Musc’art, reporté du 2 au 9 mars, retour au bar « Le Central », pour accueillir un auteur bien connu à Frontignan et ailleurs  et un autre, en passe d’être connu, venu de Sète où il mène une action culturelle qui va faire florès. Tous deux sont des piliers de Musc’art et font rayonner leur culture, leur intelligence et leur réflexion pour que l’association conserve ses galons, pas visibles de tous si ce n’est de ceux qui se font une certaine idée de la culture, comme d’autres se faisaient une certaine idée de la France.
 
 
Marc Tarlet, alias Marco Libro, est loin d’être un inconnu à Musc’art mais on peut toujours compter sur Angela Mamier pour continuer à extraire de l’auteur de polars, « la substantifique moelle » de l’homme et de son œuvre.
Mais quoi obtenir de lui qui ne soit pas déjà connu ? L’occasion de la sortie de son 9è roman policier, « Immersion », nous a donné l’occasion de découvrir chez Marco d’autres petits compléments d’information. C’est alors au fil des échanges entre Angela Mamier et Marco que nous avons pu (ré) apprendre que les livres de Marco touchent à l’actualité la plus brûlante de certains faits divers, que la cause des femmes est toujours en arrière-plan, que les comportements de certaines personnes peuvent « déborder du cadre » et que l’on peut chercher des explications à certaines dérives, issues des profondeurs des abysses de l’esprit.
L’écrivain avoue que plus il écrit, plus il se sent soumis à une certaine pression, exercée par tous ses fidèles lecteurs qu’il retrouve sur les marchés de l’été à Frontignan, qu’il n’aurait pas forcément aimé être policier (surtout aujourd’hui !) et qu’il sait s’entourer de toute une équipe pour construire ses ouvrages (conseils de spécialistes, aides extérieures sur le terrain, relecture, couverture…) tout cela parce qu’il aime « trouver les solutions à tout problème ». D’où une construction rigoureuse à partir d’une trame préétablie, qu’il développe ensuite dans les détails, avec les fiches de ses personnages, son « casting » à lui.
Aimant écrire « dans le calme », il base ses histoires sur « l’humain » et applique cette loi : un bon polar, c’est une bonne intrigue et une bonne histoire, à laquelle il sait y ajouter désormais une adresse ludique et originale au lecteur, un public avec lequel il aime beaucoup échanger et auquel il réserve une prochaine surprise, qui ne sera pas habillée de noir mais de quelque chose de plus gai. Quand on vous dit qu’il restait encore des faces à découvrir chez Marco !
L'article à suivre relatera l'exposé de Dominique Thomas -alias Moquaden Shomiti, son nom de plume, qui a tenu son public en haleine avec des paroles très lourdes de sens faites pour faire réfléchir.

Dromasud - Exposition les dromadaires parmi nous

 

L'association vous présente son exposition les dromadaires parmi nous !

En partenariat avec la ville, le CIRAD, le musée saharien du Crès, ainsi que les enfants des écoles...

La ferme cameline Dromasud, c'est l'histoire d'un élevage hors du commun, qui a débuté en 2010 avec l'acquisition de deux dromadaires dans le jardin familial, aujourd'hui l'élevage professionnel situé à Frontignan composé d'une dizaine de bossus s'appuie sur trois axes prioritaires :

  1. l'élevage avec des prestations agri-touristiques
  2. la valorisation cameline avec des pensions et pensions travail
  3. la formation avec des ateliers et des stages

"Le DROMADAIRE c'est notre nature, c'est votre passion, loin de la rentabilité et de la productivité, notre petite structure familiale propose un espace à part où dromadaires et chameaux ont toute leur place, avec un terrain adapté, des animaux sains et notre univers de passionnés à votre service."

LES +++ Buvette et vente de produits sur place.

Possibilité de prendre une adhésion sur place (12€). Avec la présence de deux dromadaires de la ferme cameline Dromasud pour de belles photos.

En pratique:

  • Samedi 18 mars de 14h à 20h30
  •  Dimanche 19 mars de 10h à 17h
  • Maison des seniors Vincent-Giner
  • Vernissage samedi à 14h30
  • Entrée libre

Notes sur Frontignan

Le livre incontournable d'Achille Munier à lire en ligne gratuitement ou, pour les collectionneurs, à acheter (quelques exemplaires encore disponibles en réédition chez Amazon).