Frontignan

Présence Verte Services recrute sur le Frontignanais.

Communiqué de presse, le 19 février 2021 à Montpellier

Avec plus de 14 00 salariés et en tant que 87ème employeur d’Occitanie, Présence Verte Services est un employeur de proximité important. En cette période de crise sanitaire, l’Association recherche activement des intervenants à domicile.

Présence Verte Services propose un poste d’ Aide à Domicile en CDD au sein de son agence MONTPELLIER OU EST, sur les secteur s suivants :

Frontignan / Balaruc les Bains / Balaruc le Vieux / Vic la Gardiole / Villeneuve les Maguelone,

L’Aide À Domicile accompagne les personnes fragiles, dépendantes ou en difficulté sociale dans les tâches du quotidien. Elle/Il aide les personnes sur leur lieu de vie dans l’accomplissement des activités courantes domestiques ou administratives, tout en fournissant un soutien moral et un soutien physique.

Les missions principales :

  • Réaliser les travaux courants d’entretien de la maison : entretien du logement, du linge, repassage, vitres, vaisselle, sanitaires...
  • Aider dans les actes essentiels de la vie quotidienne : effectuer les courses, la préparation de s repas...
  • Accompagner la personne aidée dans ses sorties : rendez - vous chez le médecin, promenades, loisirs,...
  • Assister la personne dans les démarches administratives simples.

Les personnes intéressées sont invitées à transmettre leur candidature (CV et Lettre de motivation) à l’adresse suivante:

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou à postuler sur le site internet de l’Association : www.presenceverteservices.fr ​

Inscription/ Réinscription au Conservatoire

Bientôt la rentrée pour le Conservatoire à Rayonnement Intercommunal de Sète agglopôle méditerranée !

 Credit Photo - Agglopôle

Les réinscriptions et les demandes d’inscriptions pour l’année scolaire 2021/2022 se font exclusivement en ligne. Le CRI, classé établissement d’Enseignement artistique spécialisé musique et art dramatique, accueille plus de 1 300 élèves/étudiants et 68 enseignants. Il propose une programmation riche et diversifiée (concerts, spectacles, auditions, master-class, conférences…) dans et hors les murs, afin de proposer une offre pédagogique, artistique et scénique variée et collabore notamment avec les acteurs artistiques, culturels et institutionnels du territoire et de l’Occitanie.

Réinscriptions du 16 au 25 août

Permanence téléphonique (tous sites) au 04 99 04 76 30 de 9h à 16h (CRI fermé au public) Inscription en classes de formation musicale en ligne du 6 au 8 septembre

Pré-inscriptions du 30 août au 10 septembre

  • Au sein du CRI de Sète => http://Sete.Rdl.fr
  • Au sein de l’antenne de Frontignan => http://Frontignan.Rdl.fr
  • Au sein de l’antenne de Mèze => http://Meze.Rdl.fr

Permanence téléphonique du lundi au vendredi de 9h à 16h selon les sites :

  • Sète : 04 99 04 76 30
  • Frontignan : 04 99 18 54 27
  • Mèze : 04 67 43 80 75

 

Renseignements et Tarifs 2021 2022 DU CRI

ICI

Souvenir - Naufrage du Roger-Juliette

1947. Dans la nuit du 27 au 28 novembre, le pinardier Roger-Juliette s’échoue sur un banc de sable à 150 mètres de la plage des Mouettes avec à son bord six marins.

 Dans la nuit du 27 au 28 novembre 1947, le pinardier Roger-Juliette s’échoue sur un banc de sable à 150 mètres de la plage des Mouettes.

Le Roger-Juliette enregistré, à Lorient, faisait route vers Sète, lors d’une terrible nuit de tempête. À bord du pinardier, six marins bretons originaires de l’île de Groix. Ils périront tous dans la nuit, à une centaine de mètres de la plage, sous la violence des énormes rouleaux d’une mer déchaînée. Pourtant, malgré la tempête et le froid glacial, les secours se sont organisés.

André Massias, Daniel Castillazuello et Odon Clément ont tenté de sauver l’équipage. Âgé de seulement 21 ans, André Massias n’hésitera pas à se jeter à l’eau, simplement attachée à une corde pour éviter d’être emportée par les vagues.

Les enfants d’André, Alain et Christiane, ne savent guère ce qui poussa leur père à de tels actes de bravoure : « c’était quelqu’un de très discret, il ne nous a jamais raconté son exploit, nous l’avons appris à son décès, il ne s’est jamais vanté de cette action. C’est sûr qu’il avait un gabarit hors norme, une force incroyable, c’était quelqu’un de puissant et de physique, on le surnommait même Tarzan ! »

 Reproduction du  pinardier Roger-Juliette réalisé par Jean Pierre Alibert

Ce naufrage le plus terrible de l’histoire maritime de la ville a profondément marqué la population. Sous le coup de l’émotion, la municipalité fut même à l’origine d’une souscription pour permettre le rapatriement des corps vers leur Bretagne natale.

En l’honneur, du courage de ces Frontignanais et peut-être en l’honneur d’une mer, à jamais indomptée, le 27 novembre 2019, la ville de Frontignan la Peyrade fera poser une plaque, en présence du conseiller municipal chargé de la culture et du patrimoine de l’île de Groix, du club taurin et des familles Massias, Castillazuello et Clément, pour ne pas oublier.

A.S

 

Les EMMUSCADES - Le cinéma dans les vignes, sous les étoiles

Pour fêter la 15éme édition des Emmuscades, les Hallucinés en partenariat avec les domaines viticoles et la ferme des Aresquiers, vous accueillent sur la thématique de la comédie autour d’une table dans les vignes pour fêter la joie de vivre et la légèreté.

Tarifs : 13€/6€ au – de 10 ans ( 1 assiette de brasucade de moules + 1 verre de muscat+ un film)

A noter : 1€ sera reversé à l’association SOS Méditerranée

Soirée à partir de 19h30 – Brasucade à 20h30 – Projection du Film vers 22h00

Réservation obligatoire auprès de l’office de Tourisme de Frontignan

Tel : 04.67.18.31.60 / Pass sanitaire obligatoire

 Frontignan-tourisme.com

   

LE FILM DU MERCREDI 11 août 2021

RIEN SUR ROBERT

Au Domaine de la PLaine

 

Réalisation - Pascal Bonitzer

Acteurs principaux

Fabrice Luchini / Sandrine Kiberlan / Valentina Cervi

France, 2018  1h43 min.

Synopsis :

A la suite d'une critique qu'il n'aurait pas du écrire sur un film bosniaque qu'il n'a pas vu et d'une dispute avec son amie Juliette, Didier va voir sa vie changer et ses repères s'effondrer. Juliette le quitte pour un autre.

Il rencontre une jeune fille étrange, Aurélie, ainsi qu'un certain Jérôme, qui est peut-être son double. Au bout du chemin, il lui faudra découvrir qu'on n'écrit pas et qu'on n'aime pas impunément.

 

Acte citoyen - Don du Sang

En ces temps particuliers, l’ établissement Français du Sang invite d’autant plus les français à ancrer le don du sang comme un acte citoyen dans leurs habitudes de vie…

Salle Voltaire – Parc V. Hugo

  Lundi 1er et Mardi 2 Mars  de 14h-19h30

Parce qu’il n’y a pas d’heure pour sauver des vies, vous pouvez donner votre sang même après 18h, en vous munissant de l’attestation et en cochant le motif « assistance aux personnes vulnérables »

 

Pêche au gros - La 33é Canne d’or n’a pas trouvé son vainqueur.

09/08/2021

Le thon Club a organisé deux compétitions sous l’égide de la fédération des pécheurs en mer (FFPM) , le 33é challenge de la canne d’or et le 8é trophée de la ville.

 Le TIMO, Yannick OLIVET son capitaine, vainqueur du 8é trophée de la ville

Des épreuves de pêche en mer qui se sont déroulées du jeudi 05 au dimanche 08 août 2018 au large du port de Frontignan durant 4 jours, la journée du 05 étant consacrée essentiellement à l'accueil et au briefing des capitaines.

 
Le SAUVAGE, 2é de ce concours   Le MAR'LO s'octroie la 3é place

Pour cette cérémonie de remise des trophées, pass sanitaire obligatoire à l’entrée.

85 participants répartis dans 24 bateaux ont pris le large, pour l’essentiel issus du cru, pour certains des ports voisins comme Palavas, dans l’espoir pour chacun ramener un cyclopéen de 100kg et plus qui leur permettrait de figurer parmi les prétendants du précieux trophée de la canne d’or.

Si le requin est bien présent en Méditerranée, par contre le thon se fait rare, la météo capricieuse du moment n’étant certainement pas étrangère à cet état de fait car seulement 16 pièces ont été pêchées durant ces 4 journées.

Le grand vainqueur de ce challenge est le bateau TIMO avec Yannick Olivet son capitaine qui remporte le 8é prix de la ville.

Le SAUVAGE se place second et le MAR’LO s’octroie la 3é place.

A noter que 3 petits centimètres séparent le 3é du 4é.

le podium de ce 33é trophée de la canne d'or et 8 trophée de la ville 2021

Pour la 3é saison consécutive le 33é trophée de la canne d’or n’a pas trouvé son vainqueur, aucun poisson pêché n'a atteint les 100kg et c’est Jean Louis Molto délégué à la plaisance qui a remis le trophée de la ville à l’équipage du Timo.

« On vient pour la pêche naturellement, mais surtout pour l’ambience formidable , pour tout cela ; merci Marc. » conclura le Président Palavasien.

Comme de coutume après la remise des prix, Marc Mauran, le président du Thon club a convié l’assistance à partager ce moment autour d’une collation, le tout en musique avec Patrick Ginestet aux commandes.

Nota:

Pour être parmi les prétendants à la canne d’or le poids minimum du poisson est fixée à 100Kg,

Pour le trophée de la ville il s’agit d’une maille évolutive dont la base de départ est fixée à 1m40

Le 104è Musc'art, avec le sociologue Claude Llena

Il y a pratiquement juste un an, Musc’art installait exceptionnellement son quartier général de rassemblement de ses adhérents au restaurant « Fleur de Sel » qui prenait pour une fois le relais de « Côté Mer », fermé en janvier. Et ce soir-là, au restaurant roumain du port de Sète ouvert aux voyages, Musc’art recevait en quelque sorte deux explorateurs en provenance directe du Costa Rica où après avoir vécu une expérience de vie en tant qu’enseignant et sociologue dans « la Suisse de l’Amérique centrale », ils en ont couché les résultats dans deux livres. Et aux côtés de Simon Berdiel (à gauche sur la photo), on retrouvait Claude Llena, le sociologue, explorateur au long cours jusqu’aux quatre coins du monde, qui nous narrait le Costa Rica en long et en large, en reliefs et en couleurs !
C’est ce dernier que nous avons sollicité pour faire plus ample connaissance, au moyen de cette interview en ligne, afin de meubler ce 104è Musc’art virtuel, lequel permettra au besoin aux adhérents absents ce soir-là de découvrir le formidable travail de ce sociologue dont la pensée, claire et précise, fondée sur des faits réels, permet de nous faire avancer dans notre réflexion sur la marche de la société.
Claude Llena, à vous la parole :
 
1° Qui êtes –vous ?
Quel a été le chemin jusqu’à votre premier livre ?
Mon grand-père et mon père étaient menuisiers. Les livres n’étaient pas la priorité mais, le travail était sacré…
Par ailleurs, ma grand-mère tenait une épicerie de quartier où j’ai appris l’importance de la rencontre. Dans mon éducation, le respect de l’autre et la qualité des relations sociales étaient essentiels. Je dois beaucoup à l’autre qui m’a permis de mieux comprendre le monde. Car très tôt, je suis parti à sa rencontre par le voyage.
Je ne savais pas encore à quel point cela allait permettre de me réaliser… Un simple sac à dos et me voilà parti à la découverte du monde. Puis, l’Université a réussi à mettre des mots sur mes interrogations. Les sciences sociales et notamment la sociologie m’ont offert des grilles de lecture sur la réalité des humains que j’observais dans mes voyages.
Ensuite, je suis devenu enseignant. Puis, pendant cinq ans, j’ai été éditeur de l’éducation au CRDP de Montpellier. J’accompagnais les auteurs pour terminer leurs ouvrages. Cela m’a donné envie par la suite d’écrire les miens…
En 2007, j’ai participé à créer l’Université populaire Montpellier Méditerranée car je suis très attaché à l’éducation populaire. D’ailleurs, écrire des ouvrages n’est pas simplement le plaisir de coucher ses réflexions sur le papier mais, c’est aussi ou surtout de rencontrer ses lecteurs grâce à des rencontres/débats auxquelles je suis très attaché…
Au final, toutes ces expériences sont le terreau de mon écriture. Ainsi, en 2012, mon premier ouvrage va naître de la rencontre des peuples de l’altiplano bolivien qui travaillent sans déclaration officielle. J’ai partagé leur quotidien pendant quatre mois. Je me suis ainsi retrouvé en sentinelle sensible qui cherche à observer le fonctionnement de ses contemporains. Ils m’ont beaucoup appris et ce fut un plaisir de le transmettre à mes lecteurs.
 
2° Si le récit peut féconder le réel c’est pour faire naître quoi ?
Pour moi, ce sont les faits qui fécondent le récit. En effet, comme tous les sociologues, je pars du concret, de ce qui existe et que je peux observer. J’aime décrire la réalité quotidienne des humains. Et au final, il me paraît essentiel de donner la parole à ceux qui ne l’ont jamais, aux oubliés du développement et de l’histoire. Ces naufragés de la modernité ont souvent de belles histoires à nous raconter. Ils s’inscrivent dans une autre réalité pleine de bon sens et de sobriété heureuse.
 
3° Qu’est-ce qui déclenche l’écriture ? Ecrire est-ce une contrainte ?
Pour moi, ce qui déclenche l’écriture c’est la rencontre. Si on est sensible à ces choses-là, on peut croiser au quotidien des êtres étonnants capables d’adaptation et de création pour arriver à trouver des réponses à leurs problèmes. Dans les pays du sud, ils ont d’ailleurs bien compris que c’est rarement tout seul que l’on trouve la solution. Le collectif est souvent le luxe des sociétés en difficulté. A partir de ces terrains d’observation, les analyses et l’écriture s’imposent.
 
4° Quel est le mot le plus important pour vous ?
Le mot le plus important pour moi est : convivialité.
 
5° Bâtissez- vous livres avec une architecture pré-établie ?
Pas du tout… ce sont les réalités observées qui guident le plan de la réflexion. Les experts du quotidien rencontrés sur mes terrains d’observation sont les maîtres d’œuvre de mon travail d’écriture. Si j’écris c’est pour donner la parole aux oubliés de l’histoire, aux laissés pour compte par l’évolution à marche forcée du capital. Pour y parvenir, j’essaie de m’immerger pour être au plus près de leurs réalités. A travers moi, c’est un peu eux qui écrivent.
 
6° Ouvrez nous un peu votre « fabrique d’écritures » ?
Par exemple, pour mon dernier ouvrage Demain commence aujourd’hui, nous sommes partis des enquêtes semi-directives que nous avons menées dès le début des années 2000 dans quelques communautés alternatives d’Occitanie et de Bretagne. Ensuite, nos voyages et nos travaux de recherche nous ont amenés dans les Andes. Nous avons pu ainsi observer tout un ensemble de pratiques qui ouvrent des horizons dans un contexte de crise du néolibéralisme. Ce ne sont pas des solutions toutes faites mais des pistes pour ouvrir la réflexion et les imaginaires.
 
7° L’écrivain peut-il rendre le monde meilleur ?
Il peut en tout cas participer à élargir les imaginaires en défendant des valeurs. Il est, en quelque sorte, un lanceur d’alerte. Par exemple, il peut s’impliquer dans la lutte contre l’oppression et pour l’émancipation des peuples. En ce sens, il est un éveilleur de conscience et donc, il participe à construire ou à imaginer un monde meilleur.
 
8° Quels sont les titres de vos livres ?
A ce jour, j’ai publié cinq ouvrages :
Cochabamba. Quand l’informel chasse la misère. Il s’agissait de publier les résultats d’une étude de quatre mois sur les pratiques productives des acteurs de l’économie informelle à Cochabamba en Bolivie.
Lao-tseu et les taoïstes ou la recherche d’une vie harmonieuse. L’objectif était de montrer les liens entre les écrits du fondateur du taoïsme et les fondements de la décroissance.
La Chine vue d’en bas. Après un séjour de trois années en Chine, j’ai posé sur le papier ma perception de la Chine contemporaine. C’est réellement un pays et une culture qui m’ont passionné.
Voyage au cœur du Costa Rica. J’ai voulu rendre compte de mon expérience dans ce pays. Trois années à la rencontre du peuple costaricien pour déplorer les effets du néolibéralisme et du tourisme de masse sur le quotidien de la population.
Demain commence aujourd’hui. Là aussi, le néolibéralisme a montré ses limites. Au niveau écologique et social, le désastre est palpable. Peut-on imaginer construire un monde qui nous ressemble ? Une partie de la jeunesse fait la démonstration que c’est possible… ici et maintenant.
 
9° Comment percevez –vous le monde qui nous entoure ?
Le monde qui nous entoure est très complexe. Nous sommes entourés d’informations mais, le trop est l’ennemi du mieux. De fait, nos contemporains sont perdus. Nous avons besoin de recul et de calme pour mieux comprendre. L’écriture est donc un moment de solitude à l’écart de l’excitation tapageuse du monde. Elle s’inscrit dans le temps long… contrairement au contexte qui nous entoure.
 
10° Qu’est-ce qu’un écrivain selon vous ?
Pour moi un écrivain est un lanceur d’alerte, un passeur d’humanités... Il est une caisse de résonance des questions portées par la société locale et globale. Et il doit participer à diffuser des grilles de lectures analytiques et conceptuelles pour éclairer chacun de ses lecteurs en développant son imaginaire et son esprit critique.
 
11° L’écrivain est-il un grand alchimiste de la réalité ?
Il n’y a pas d’alchimie dans mon écriture. Je pars de ce qui existe et je le commente. J’espère être plutôt un peintre réaliste du quotidien de l’humanité.
 
12° Vous êtes vous immergé très jeune dans la lecture et l’écriture ?
Non, cela est arrivé tardivement. Grâce aux rencontres et à mes voyages. Cela m’a construit et l’écriture s’est imposée comme une évidence pour faciliter la transmission et faire émerger des rencontres et des débats.
 
13° Quelles sont vos relations avec le temps ?
Dans le monde occidental, nous avons été éduqués dans une gestion linéaire du temps. C’est-à-dire que le temps passe et ne revient pas. Il passe sur une ligne continue sans possibilité de retour. Donc, dans notre éducation, il faut remplir le temps du présent car ensuite on ne sait pas... Dans notre société de croissance, nous avons été construits culturellement sur le proverbe : « Ne remets pas à demain ce que tu peux faire aujourd’hui ». Alors que, par exemple, les civilisations andines nous apprennent que la gestion du temps est cyclique. C’est-à-dire que les mêmes conditions reviendront qui nous permettront d’accomplir ce que nous n’avons pas fait aujourd’hui. Il n’y a pas de stress à avoir. C’est le carpe diem permanent, c’est meilleur pour la santé et le bien-être. Cela explique en partie leur résilience ou leur capacité à gérer les difficultés quotidiennes. Plus le temps passe et plus je suis partisan de cette deuxième façon de percevoir la gestion du temps.
 
14° Des projets littéraires en vue ?
Oui de nombreux projets éditoriaux sont en route dans ma tête. J’ai même envie de publier un livre de poèmes. Mais, bon cela reste encore un objectif de long terme…
 
15° Votre proverbe préféré ?
Je me suis intéressé dans deux de mes ouvrages à la philosophie chinoise et en particulier aux écrits de Lao-tseu. Il y a dans ce pays une longue tradition qui a donné naissance à de nombreux proverbes. Et celui que je retiens chez le fondateur du taoïsme c’est : « Si les choses ne changent pas, change ta façon de les voir… ». La pensée de Lao-tseu est riche d’une pensée positive capable de vous changer la vie pour avancer sur un chemin jalonné de bons moments de convivialité et de belles rencontres. Même les contraintes imposées par la pandémie de Covid-19 ne peuvent détériorer un tel objectif.

Fin de l’expérimentation urbaine sur le Quai Voltaire

07/08/2021

Un mois durant , le quai Voltaire était devenu piéton.

Une expérimentation urbaine sur le quai Voltaire à Frontignan, tout le mois de juillet, devenu piéton. Cette action, préalable au lancement d’une grande concertation citoyenne, visait à tester un nouvel usage de cet espace public en bordure de canal, sans voiture mais avec ambiance conviviale et animée, permettant la déambulation et la détente.

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Ainsi, jusqu’au 31 juillet, habitants, plaisanciers de la halte fluviale et promeneurs ont pu tester un nouvel usage du lieu et jouir des aménagements temporaires (installation de mobilier urbain, végétalisation…) mais également des différentes animations culturelles, sportives et festives proposées.

 
  Food Truck

Cette expérimentation s’inscrit dans le cadre du projet de requalification du coeur de ville engagé en 2019 pour un budget de 35 millions d’euros avec Sète Agglopôle Méditerranée, le département de l’Hérault, la région Occitanie et l’État. Ce projet vise à améliorer le cadre de vie en redessinant des espaces publics, en soutenant le commerce, en développant l’offre d’équipements publics, en rénovant l’habitat et en valorisant le patrimoine naturel et architectural de la commune.

Dans une dynamique d’ouverture du cœur de ville sur son territoire environnant, la municipalité de Frontignan souhaite aussi affirmer l’identité maritime de la ville avec une véritable réappropriation des bords du canal en aménageant ses berges en promenade, en lieux d’échanges et d’interactivité.

Et maintenant la concertation !

Fin septembre, la concertation sera lancée avec l’ouverture de la Maison du projet et la mise en place de la plateforme numérique accessible via le site internet de la ville qui permettre de s’informer, de s’exprimer et de s’inscrire aux différents ateliers. Des balades urbaines seront également proposées le 25 septembre (sur réservation) et des ateliers seront également organisés en octobre et novembre afin de prendre en compte l’avis de toutes et tous.

Santé - Mois du dépistage du cancer colorectal .

 

Un test, rapide et efficace, peut sauver des vies,  du 1er au 31 mars, l’Institut national du cancer se mobilise contre le cancer colorectal, notamment grâce à trois vidéos/tutos sur le dépistage dont la Ville de Frontignan la Peyrade se fait le relais.

Le cancer colorectal, ou cancer du côlon-rectum, aussi appelé cancer de l’intestin, est l’un des plus fréquents en France : il touche chaque année près de 45 000 hommes et femmes en France. 2e cancer le plus meurtrier, il est responsable de près de 18 000 décès par an.

Pourtant, s'il est détecté tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10.

Dépister ce cancer est désormais plus facile grâce au test immunologique. Ce test rapide et efficace, est à faire chez soi. Il s’adresse aux femmes et aux hommes, âgés de 50 à 74 ans, invités tous les 2 ans à parler du dépistage du cancer colorectal avec leur médecin. Ce dernier vérifie si son patient ne pré-sente pas de risque particulier nécessitant un suivi adapté, puis lui remet le test de dépistage à faire chez soi.

Voir les vidéos pour le dépistage du cancer colorectal :

http://www.frontignan.fr/

Les Estivales à Frontignan, succès au rendez-vous

Cliquez sur l'image pour agrandir

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 Le parc Victor Hugo à Frontignan accueillait les estivales de Thau ce jeudi 5 août 2021 dès 18 h en présence du maire de la ville Michel Arrouy accompagné de Kelvine Gouvernayre conseillère en charge du tourisme et Patrick Bourmond en charge du commerce et de quelques autres élus venus en visiteurs.

Le principe est simple:

Des stands de dégustations (vins, huîtres, moules, tielles, biscuits, chocolats, glaces …) prennent place à ciel ouvert, à tour de rôle dans les communes du territoire, pour le plaisir de tous. Les visiteurs récupèrent un verre à l’entrée, offert par Sète Agglopôle Méditerranée, qui organise l’événement partout sur le territoire du bassin de Thau, et payent un ticket de deux ou cinq euros donnant droit à une ou plusieurs consommations sur place.

Le tout en musique.

Ce rendez-vous fait la part belle aux vins de la région et aux spécialités locales, des zézettes de Sète aux coquillages de l’étang de Thau en passant par la tielle et le muscat de Frontignan pour ne citer que ceux-là…

Chaque année, le succès ne se dément pas, malgré les contraintes sanitaires, il faut bien s’en convaincre, majoritairement respectées par les Frontignanais et les touristes présents.

Sète Agglopôle Méditerranée prévoit encore cinq dates pour les estivales.

Prochains rendez-vous

  • Jeudi 12 août à Mèze (Promenade Bessière – Parking des Tonneliers)
  • Jeudi 19 août à Marseillan (Quai Antonin Gros)
  • Jeudi 26 août à Loupian (Rue Jean Jaurès)
  • Jeudi 2 septembre à Montbazin (Jardin Public)
  • Jeudi 9 septembre à Balaruc-les-Bains. (Parc Charles de Gaulle).

Deux nouveaux « arrêts minute » en cœur de ville

Le très fréquenté boulevard Victor-Hugo bénéficie de deux nouveaux emplacements de stationnement « arrêt minute ».

Afin de faciliter le trafic, les livraisons mais aussi l’accès aux nombreux commerces qui jalonnent le boulevard Victor-Hugo, deux nouveaux emplacements de stationnement « arrêt minute » sont instaurés devant les numéros 62 et 64 de l’axe frontignanais. Du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 19h, ces deux places offrent désormais une durée de stationnement de 20 minutes. De quoi laisser le temps aux clients d’aller faire quelques emplettes en toute quiétude.

La durée de stationnement n’est pas réglementée les dimanches et jours fériés.

Pêche en mer : 33e Canne d’or/ 8e trophée de la Ville

Concours de pêche en mer.

 

Organisé par le Frontignan Thon Club. Jusqu’au 8/08.


Tarif : 120€/pêcheur (inclus apéritif d’inscription, repas midis et soirs pour les 3 jours).

Ouvert à tous les licenciés FFPM.

Inscriptions le 5/08.

Remise des prix dimanche 8/08 à 19h30, capitainerie du port de plaisance, avenue des Etangs.


Rens. et insc. : 06 81 87 09 37 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

+deFIRN >> Balade littéraire et rencontre avec Pascal Thiriet

Samedi 27 février 2021, 10h, port de plaisance de Frontignan avec Pascal Thiriet une nouvelle façon, exceptionnelle et intime, de rencontrer une œuvre, un auteur et un territoire : partez en balade littéraire sur le bassin de Thau avec les meilleur.e.s romancier.e.s du moment. À pied, en vélo, dans les vignes ou au bord des étangs, dans la garrigue ou sur des friches industrielles, embarquez pour une promenade de quelques kilomètres, ponctuée de lectures par les auteur.e.s puis d’une dégustation des produits du terroir et d’une séance de dédicaces. Des rencontres exclusives et ouvertes à tous à ne pas manquer !

Les faits : Balade littéraire au port de plaisance de Frontignan à l’invitation de Pascal Thiriet.

 
  Pascal Thiriet

Le lieu : Créé en 1982 et géré en autonomie financière par la Ville de Frontignan, le port de plaisance est un des fleurons de l’économie balnéaire du littoral occitan. Offrant des points de vue remarquables entre étangs, Gardiole et Méditerranée, mixant des activités de loisirs et de pêche et engagé depuis plusieurs années dans des pratiques éco-responsables labellisées, il bénéficie depuis fin 2020 de travaux de restructuration et d’agrandissement (de 600 à 750 places) pour 4,5 M€.

Le coupable : « Un port, cela se visite l’hiver, quand on travaille ! ». Pascal Thiriet sait de quoi il parle, lui qui a posé ses valises à Sète après avoir navigué des Etats-Unis à l’Amérique du Sud, de la Méditerranée jusqu’en Corse d’où est originaire sa mère, et enchaîné les boulots : santonnier, convoyeur de bateaux, garagiste, typographe, vendeur à la criée de La cause du peuple, puis professeur à Toledo (Ohio, USA) après son CAPES de math. Amoureux de l’eau et de la mer, il adore canoter sur le lac Michigan ou laisser filer son voilier autour de la Méditerranée. Il n’a jamais eu la télé, lit tout et n’importe quoi et écrit en permanence, des critiques littéraires comme des romans noirs, tous édités par Jigal, maison marseillaise. Après J’ai fait comme elle a dit, Faut que tu viennes dont l’action se déroule entre Sète et Montpellier, notamment aux Aresquiers et Au nom du fric, trois polars déjantés, il vient de publier Sois gentil tue-le, une histoire de mer et d’îles où c’est sur terre que ça ballotte pour les gens de peine surtout quand ils s’aiment…

Les preuves : « C’était une grosse montre étanche, une montre de patron pêcheur, c’était ça qu’il était mon père. Etanche, elle l’était, le courant des Ispres avait mis deux semaines à rendre le corps après le naufrage et la montre marchait toujours. » (Sois gentil tue-le, Jigal Polar 2020).

Les libraires partenaires du FIRN se déplacent et seront à vos côtés lors de ces rencontres pour faciliter dédicaces et achats de livres. Attention paiement par chèque et liquide. Le FIRN est organisé dans le cadre des normes sanitaires en vigueur, merci de nous aider à les respecter. Prévoir chaussures adaptées, eau et protections solaires en fonction de votre balade.