Une cinquantaine de poussins de Sterne naine viennent d’etre décomptés sur les tocs lors d’un suivi du CEN Occitanie !

Selon Météo France : au 16 juin, infographies et prévisions sur : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/une-vague-de-chaleur-remarquablement-precoce-gagne-le-pays
Une vague de chaleur remarquable par sa précocité et son intensité a débuté ce mercredi en France. La chaleur était présente dès mercredi sur le Sud-Ouest et en vallée du Rhône. Aujourd'hui jeudi, elle s'accentue avec des maximales entre 35 et 39 °C, localement 40 °C. Vendredi, elle gagnera progressivement les régions plus au nord le long de la façade atlantique, avant de se généraliser samedi à l’ensemble du pays. Samedi connaîtra le pic de cet épisode caniculaire avec des températures pouvant atteindre dans certains endroits 42 °C.
Des températures fortement élevées sont attendues !
Restez informés en consultant la carte de Vigilance météorologique et les conseils de comportements.
Le ministère de la Santé a activé le numéro gratuit Canicule info service (0800 06 66 66) afin de répondre aux interrogations et donner des conseils pratiques. Il sera en service jusqu’à la fin de l’épisode.
Cette situation est engendrée par une dépression localisée entre les Açores et Madère qui favorise, dans un mouvement de rotation, les remontées d'air chaud provenant d’Espagne sur l’Europe occidentale. La chaleur, déjà installée mardi et mercredi sur le sud-ouest, s’intensifie cet après-midi de jeudi avec des températures maximales entre 35 et 39 °C, localement 40 °C, sur un large quart sud-ouest jusqu’à la basse vallée du Rhône. Elle gagnera vendredi les régions le long du littoral atlantique jusqu’au Poitou-Charentes, avec des températures maximales pouvant dépasser localement 40 °C. Samedi sera la journée la plus chaude de l’épisode sur l’ensemble du pays, avec des températures maximales de 40 à 42 °C des Landes au Poitou-Charentes, 38 à 40 °C du Sud-Ouest au Massif Central et au Centre, et souvent de 35 à 39 °C sur les autres régions exceptées le littoral du Nord-ouest et la Corse.......................................
Le « tigre » est là. Chacun peut prévenir sa prolifération…
Chaque saison, remettre sur le métier l’ouvrage. Comme chaque année, le moustique-tigre (Aedes albopictus) est progressivement ressorti de quelques mois d’hibernation depuis fin mars / début avril. La particularité de l’espèce est de tomber en « diapause » au niveau de ses œufs. Cela signifie que de la fin de l’automne à la fin de l’hiver, grosso modo entre novembre et avril, le moustique-tigre n’apparaît plus sous sa forme adulte et volante, pas plus que ses larves ne se développent dans toute retenue d’eau ou que ses œufs n’éclosent. Ces derniers restent là où ils ont été préalablement pondus par les femelles, sur les rebords de récipients et objets, souvent de petite voire très petite taille, pouvant recueillir de l’eau.
L’activité de l’insecte est indexée sur la photopériode et sur les températures : la diminution de la durée du jour et le rafraîchissement automnal et hivernal entraînent ce phénomène de « diapause ». Et quelques mois plus tard, quand les jours rallongent et les températures se font plus douces, pourvu qu’il y ait des mises en eau des récipients sur les rebords desquels subsistent des œufs, le cycle biologique repart : au contact de l’eau dont le niveau s’élève, les œufs éclosent et donnent des larves.
Bien sûr, le processus ne redémarre pas un jour précis de l’année et partout à la fois. Et les densités de moustiques-tigres ne sont pas tout de suite prégnantes. C’est un phénomène progressif. Si les tout premiers moustiques-tigres adultes de l’année commencent à réapparaître courant mars / début avril, leurs populations se densifient au fur et à mesure, pour devenir perceptibles courant mai et de plus en plus gênantes au fil du temps, là où elles s’expriment, et cela jusqu’à octobre / novembre. Nous y sommes…
Alors, la meilleure prévention des situations favorables à la prolifération du moustique-tigre, c’est éviter que ses œufs puissent se trouver au contact d’eau et/ou d’empêcher que de l’eau stagne suffisamment longtemps dans un récipient, afin que ses larves ne puissent s’y développer et que des moustiques piqueurs ne puissent émerger.
Privons le moustique-tigre d’eau. Zéro éclosion, zéro invasion !
Il s'agit en réalité d'une quinzaine qui est consacrée à ce fléau et elle dure du 15 au 30 juin. Comme le phénomène est encore mal connu, il nous a semblé utile de vous en parler un peu plus en détail...
L’Ambroisie, il faudrait en réalité dire les ambroisies, qu'elles soient à feuilles d’armoise, trifide ou à épis lisse, sont des plantes invasives originaires d’Amérique du nord et capables de se développer rapidement dans de nombreux milieux (parcelles agricoles, bords de route, chantiers, friches, etc.).
Leur pollen, émis en fin d’été, provoque de fortes réactions allergiques (rhinites par exemplpe) chez les personnes sensibles. Elles constituent également une menace pour l’agriculture et pour la biodiversité (concurrence avec certains végétaux en bords de cours d’eau).
Une fois qu’un pied d’ambroisie est observé, il faut rapidement l’éliminer car il est difficile de l’éradiquer une fois que la plante est bien installée. Des sites consacrés à l'ambroisie vous aideront à mieux les détecter (voir le site Ambroisie Risque Info)
Elles sont organisées un peu partout en France par diverses structures (communes, communautés de communes, conservatoires botaniques, parcs nationaux, etc...) et peuvent prendre différentes formes : réunion d’informations sur la plante (biologie, écologie, réglementation, lutte), expositions, échanges avec des acteurs de la lutte, arrachage collectif, liste non exhaustive.
Un site à visiter : solidarites-sante.gouv.fr
Selon France Info :
Avec les beaux jours, les méduses sont de retour sur les plages de la Côte d'Azur et du Var. Lundi 13 juin, le JT du 12/13 partage des conseils contre leurs piqûres.
Sur les plages de Côte d'Azur et du Var, les méduses sont revenues, à la faveur des fortes chaleurs. "Je ne sais pas comment ils peuvent éradiquer ça, s'ils peuvent nettoyer, je ne sais pas comment ça se passe", commente un homme. Des dizaines de baigneurs ont déjà été piqués et certains affichent des marques de piqûre importantes. "C'est très désagréable, ça fait mal et ça gonfle", décrit une jeune fille qui vient de se faire piquer.
Les paquebots de croisière se remettent à sillonner les mers autant qu'avant la crise sanitaire. On le voit notamment avec le port de Marseille, qui doit accueillir cette année plus de 500 escales et des centaines de milliers de passagers.
Selon France Info :
Avant la pandémie de 2020, on atteignait quelque deux millions de croisiéristes par an dans la cité phocéenne, ce qui est bon pour l'économie, bien sûr. Mais des habitants de Marseille y voient aussi de très mauvais côtés. Et ils entendent le dénoncer une nouvelle fois aujourd'hui en début d'après-midi, lors d'un rassemblement sur une place de la ville. C'est la "question de société" du jour avec le sociologue Jean Viard, directeur de recherche au CNRS, un grand connaisseur de Marseille et spécialiste du tourisme aussi.
franceinfo : Manifestation tout à l'heure pour deux raisons principales : la pollution générée par ses grands paquebots, mais aussi le tourisme de masse qu'il génère et ses conséquences sur la ville...
Jean Viard : La pollution de ces gros bateaux, surtout quand ils sont à l'arrêt, est un problème énorme, et c'est pour ça qu'il y a une politique d'électrification des quais pour que ces bateaux, quand ils sont à l'arrêt avec leur moteur – parce qu'ils font tourner le moteur évidemment pour la clim et l'électricité – donc ça, ça avance et c'est en train de se changer. C'est une politique essentiellement de la région et du port............................ Lire l'Interview sur : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/question-de-societe/tourisme-de-masse-et-pollution-il-faut-diffuser-les-usages-savoir-ce-que-cherchent-les-touristes-et-leur-proposer-un-certain-nombre-de-reponses-estime-jean-viard_5163478.html
Selon FranceInfo :
Un récif artificiel en 3D dédié à la plongée sous-marine. Un défi technologique et une première internationale dans la ville d'Agde. Objectif de ce projet : préserver et développer la biodiversité marine. #IlsOntLaSolution
Avec ces multiples circonvolutions et son feuillage, c'est une sorte d'œuvre d'art digne d'un temple inca aux dimensions impressionnantes : 105 tonnes pour 6,5 m de hauteur. Trois ans de travaux auront été nécessaires pour construire le plus grand récif artificiel en béton imprimé en 3D au monde.
Ce récif est le dernier lot du projet Récif'lab pour le littoral agathois. En 2019, une trentaine de récifs artificiels de nurseries à poissons commandées par la ville d'Agde ont déjà été immergés sur 300 mètres.
Immergé sur l'aire marine de la station balnéaire, ce nouveau récif de béton, dont l'architecture s'inspire directement des habitats naturels des fonds marins, est avant tout destiné à la plongée sous-marine. Sa mission est de soulager les sites naturels des impacts des activités en plongée mal maîtrisée et de protéger les milieux fragiles.
Aller plus loin et voir : https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/biodiversite/dans-l-herault-agde-protege-son-milieu-marin-grace-a-un-recif-artificiel-en-3d_5187037.html
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